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03 Fév2014

Le Clin d’oeil de Ligne Droite à l’actualité

Ecrit par 3 février 2014. Ligne Droite. Publié dans Actualité

« Mésentente cordiale », « je t’aime moi non plus », les titres de presse concernant la visite de François Hollande à David Cameron relèvent tous de la facilité. En réalité, il ne fallait rien attendre de ce tête à tête sur les questions politiques ou économiques et si nous sommes déçus, c’est, paradoxalement, par le seul aspect positif de cette visite : la coopération franco-britannique concernant la défense.

Notons quand même la commande commune pour environ 600 millions d'euros de missiles antinavires légers destinés à équiper les hélicoptères des marines des deux pays, le cofinancement d'une étude concernant le futur drone de combat franco-britannique, le développement en commun de véhicules sous-marins détecteurs de mines, l'engagement à poursuivre la mise en œuvre d'une force interarmées de 10 000 hommes, tests par les Britanniques de véhicules blindés du français Nexter, l’accélération de la livraison de deux A400M à la Grande-Bretagne ou encore, le renforcement de l'aide britannique à la France au Mali et en Centrafrique sous la forme d'un soutien logistique aérien. Mais tout cela représente une bien modeste avancée depuis le traité de coopération militaire de Lancaster House, signé en 2010, et qui promettait d'accélérer la construction d'une défense européenne crédible. Nous aurions aimé entre autres que soit abordée la question de la mise en chantier d’un nouveau porte-avions que ni la France, ni la Grande-Bretagne n’ont actuellement les moyens de financer à elles seules. Il est fort regrettable que ce projet soit figé, car avec son unique porte-avions, la France ne peut assurer la permanence opérationnelle d'un groupe aéronaval, pourtant essentiel en cas de crise lointaine.

 

David Cameron a quand même salué, visiblement sans trop y croire, le changement de politique récemment annoncé par le président français. Une politesse qui n’a pas été payée de retour. Il était pourtant facile à François Hollande de constater in situ que la célèbre « inversion de la courbe du chômage » était possible avec une autre politique.

La Grande Bretagne n’est d’ailleurs pas seule à profiter de la reprise économique en Europe. Le chômage est en baisse depuis plusieurs mois en Espagne et au Portugal, et a même reculé en Italie au mois de décembre. Mais pour le gouvernement français, la décélération d’une augmentation équivaut à une réduction.

Pour la suite, le Premier ministre va installer le comité de pilotage des « assises de la fiscalité des entreprises » promises fin septembre par le chef de l'Etat pour apaiser des patrons étranglés par le niveau des prélèvements en France. Des assises, qui vont mobiliser experts, chefs d'entreprises et parlementaires dans quatre groupes de travail pendant plusieurs mois. Il faudra ensuite mettre en chantier les réformes proposées, malgré l’hostilité évidente des syndicats et la difficulté pour les entreprises de créer les emplois promis avant que la baisse éventuelle de leurs charges se matérialisent dans leur compte d’exploitation, leur permettant de baisser leurs prix de vente et de voir affluer à nouveau les clients, nationaux et internationaux. Tout ceci dans l’ordre, n’en déplaise à un gouvernement qui veut mettre la charrue avant les bœufs.
            
Deux jeunes adolescents partis combattre en Syrie sont arrêtés en Turquie et l’on découvre qu’il y aurait aujourd'hui près de 250 Français ou résidents en France partis combattre en Syrie, une centaine en transit pour s'y rendre, 150 qui auraient manifesté des velléités de s'y rendre, et 76 qui en sont revenus. Nos services de renseignements ont par ailleurs déjà dénombré 21 morts. Internet fait tourner une propagande djihadiste où se mélangent tous les fantasmes, les recettes de bombe, l’apologie du salafisme et de la mort en martyr. Se rendre sur le lieu des combats est apparemment facile : il suffit de prendre un car à la porte de Bagnolet à destination d'Istanbul, où les Européens ne sont pas astreints à visas, avant de rejoindre la frontière syro-turque et les nombreuses infrastructures mises en place par les rebelles. Nous avons dénoncé dès le début du conflit l’irresponsabilité de Laurent Fabius qui ne faisait pas la différence entre les opposants légitimement en révolte contre le régime dictatorial d’Al Assad et les islamistes qui voient dans le conflit syrien l’occasion d’étendre leur pouvoir. Notre ministre des Affaires étrangères porte une part de responsabilité dans cette affaire.

 

La semaine qui commence va voir nos parlementaires enfin occupés à une noble tâche : celle de devoir déclarer leur patrimoine et leurs prises d’intérêt. Une obligation destinée à éviter une nouvelle « affaire Cahuzac ». Il est intéressant d’entendre nos élus se plaindre du travail considérable que demande cette déclaration, preuve qu’ils ne s’y sont guère intéressé jusqu’à présent, ne serait-ce que pour déterminer leur assujettissement éventuel à l’ISF ou leur déclaration de comptes détenus à l’étranger.

 

Au-delà des nouvelles manifestations de ce dimanche 2 février qui ont rassemblé à peine un peu moins de monde qu’en 2013; au-delà des défections regrettables de Frigide Bardot ou de Jean-François Copé qui offrent au gouvernement l’occasion de parler de démobilisation, la bonne nouvelle de la semaine reste que les Français réalisent de plus en plus que la gauche au pouvoir se sert d’alibis pour détruire la famille traditionnelle. Hier c’était le mariage homosexuel, aujourd’hui c’est l’égalité entre les hommes et les femmes enseignée à l’école de manière idéologique, demain ce sera le renforcement du rôle d’un état omniprésent afin de « protéger » nos enfants de l’influence de leur milieu familial.  Une tragi-comédie dans laquelle Vincent Peillon, ministre de l’Éducation, est naturellement appelé à jouer le rôle principal.

 

 

 

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29 Jan2014

France, pays totalitaire

Ecrit par 29 janvier 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, France

Le recul des libertés publiques, patent depuis plusieurs années, vient encore de franchir un pas. En première lecture vient d’être adopté par l’Assemblée nationale, un texte présenté comme devant améliorer l’égalité hommes-femmes. Un fourre-tout effroyable d’obligations, de contraintes, de menaces.

L’Assemblée se mêle désormais de dicter aux écoles de journalisme un programme « de lutte contre les préjugés sexistes » et autres billevesées du même acabit. Entre autres votes, elles somme l’Institut de France, c’est-à-dire les cinq Académies, d’élire des femmes. Les parlementaires en arrivent ainsi à confondre et amalgamer l’élite de la nation aux politicards incompétents, prétentieux, couards et arrivistes dont la France est aujourd’hui affligée.

Le pire ne réside même pas là. Nous sommes hélas habitués à cette inflation législative qui finira bien, un jour ou l’autre, à faire comprendre que la démocratie représentative ne permet pas aux parlementaires de voter tout et n’importe quoi. Et surtout pas de légiférer sur et contre les fondations mêmes de toute une civilisation. La démocratie recule chaque jour un peu plus au profit de la dictature des lobbies et des bien-pensants.

Mais il y a pire que la dictature : le totalitarisme. Le totalitarisme est avéré lorsqu’on n’ose même plus s’exprimer. Les intellectuels de gauche, aujourd’hui aux abonnés absents, appelaient ça l’autocensure. Désormais, ce sont même les représentants du peuple qui se font oublier parce que leur peur du qu’en dira-t-on est plus forte que le respect du mandat que leurs électeurs leur ont confié.

C’est très exactement ce qui vient de se passer : ce texte abominable, une injure à la démocratie, à la libre expression, et tout simplement en contradiction avec la déclaration universelle des droits de l’homme, a été approuvé par 359 voix contre seulement… 24. Cela signifie que, sur les 237 députés d’opposition, il n’y en a eu qu’un sur dix pour oser dire non. Ne parlons même pas des 21 élus de l’UMP, dont évidemment, Nathalie Kosciusko-Morizet – les électeurs parisiens apprécieront – qui ont approuvé cette horreur. L’UMP s’est abstenue en masse parce qu’elle n’a, évidemment, pas osé s’opposer à un texte présenté comme un progrès dans l’égalité.

Nous en sommes à un tel point de formatage de la pensée par une infime minorité de directeurs de conscience abrités à l’intérieur du boulevard périphérique de Paris que, même ceux qui sont mandatés par le peuple pour les représenter, se taisent. On leur présente un texte prétendant à l’égalité entre hommes et femmes ; évidemment nous y sommes tous favorables. C’est ainsi que les députés ne prennent pas la peine d’en lire le contenu pour constater que sous ce prétexte, on y instaure de nouveaux ferments de dictature.

De Robespierre à Lénine, les pires dictatures, les dictatures totalitaires, à ne pas confondre avec les régimes autoritaires sous la coupe d’un homme à poigne qui, en général, s’effondrent en même temps que le bonhomme, ont toujours été bâties sous prétexte de bonheur et d’égalité.


 

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27 Jan2014

La gauche a toujours l’indignation sélective, c’est même à ça qu’on la reconnaît !

Ecrit par 27 janvier 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité

Les tribulations et pérégrinations de Mme Massonneau, alias Trierweiler, n’ont rigoureusement aucun intérêt. Si intérêt il y a, il est là où surtout les media ne le cherchent pas.

Le premier intérêt est que Hollande s’est, enfin, décidé à mettre un terme à un scandale qui dure depuis bientôt deux, ans ; celui d’une dame installée à l’Élysée aux frais du contribuable et qui prétend représenter la France sans avoir la moindre qualité pour cela. De cette question, personne ne parle.

L’autre intérêt est le mutisme total des professionnels de l’indignation sélective sur la méthode pour le moins cavalière dont Hollande s’est débarrassé de sa concubine en la répudiant de quelques mots, dont trois fois le pronom je. Il a agi comme le dernier des émirs polygames sans que les ligues de vertu autoproclamées ne pipent mot. Où est Najat Belkacem, toujours prompte à traquer le macho qui a le mauvais goût de refuser de maltraiter la langue française par des féminins indus ? où est Cécile Duflot que l’on croyait d’ordinaire moins à cheval sur la solidarité gouvernementale ? où sont les chiennes de garde, les ineffables Roselyne Bachelot ou Isabelle Alonso que l’on pensait bien plus sourcilleuses ?

Une seule question à tous ces gens-là : que se serait-il passé si c’était un simple Sarkozy ou a fortiori un trivial Le Pen qui s’était mis en tête de congédier comme un domestique celle qu’il présente comme sa compagne ? la réponse est contenue dans la question. On sait depuis Blaise Pascal, que « vérité en deçà des Pyrénées… ».

Heureusement que Régis Mailhot est là pour sauver l’honneur : http://www.rtl.fr/emission/le-petit-jury/ecouter/le-petit-jury-du-26-janv-2014-7769176701

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26 Jan2014

Non !

Ecrit par 26 janvier 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, Politique

L’UMP, à en croire les media, serait embarrassée par le tournant social-démocrate prétendument emprunté par Hollande. Ce genre de commentaires est surtout destiné à mettre en valeur les talents de manipulateur du premier secrétaire à vie du parti socialiste. Naturellement, quelques bons esprits à l’intérieur de notre formation politique, plus soucieux de complaire aux commentateurs de Canal + que de préparer l’avenir de la France, jugeront que Hollande a emprunté un chemin qu’il serait dommage de ne pas suivre.

Non ! il ne s’agit pas ici de vanter les mérites d’une opposition bornée incapable de tenir compte des réalités. Il s’agit, bien au contraire, de regarder les réalités en face et de réagir de la seule façon qui vaille : Hollande se moque de nous parce que la France et son avenir sont les derniers de ses soucis, seule importe la consolidation de son parti par ses alliances avec les extrêmes-gauches.

Délivrons d’abord les plus naïfs d’un contresens. Ils affublent la notion de social-démocratie d’une acception fausse : la social-démocratie est d’essence marxiste et s’appuie sur une classe ouvrière organisée, ce qui explique la relation consubstantielle entre les syndicats et les partis sociaux-démocrates en Allemagne et en Scandinavie. Les révolutionnaires russes de 1917, mencheviks puis bolcheviks, étaient issus du Parti social-démocrate. L’erreur provient de ce que le SPD, le Parti social-démocrate allemand, a décidé, lors de son congrès tenu à Bad-Godesberg en 1959, d’abjurer la référence marxiste. Tout en gardant son nom.

Rien de tel en Suède où la social-démocratie s’est appuyée, jusque dans les années 1990, sur une dépense publique atteignant 70 % du PIB, financée par des prélèvements obligatoires faramineux, le tout dans le cadre d’une société extrêmement normée, à la limite du totalitarisme. Lorsque les pontes du Parti socialiste affirment haut et fort qu’il n’y a pas de tournant, je leur en donne acte volontiers : Hollande et ses sbires qui ruinent le contribuable tout en s’évertuant à museler ceux qui ne pensent pas comme eux, à interdire à peu près tout ce qui fait l’agrément de notre société, des voitures aux téléphones mobiles, tout en niant la différence entre hommes et femmes et en détruisant les fondements de notre civilisation, s’inscrivent dans la démarche social-démocrate, si ce n’est traditionnelle, à tout le moins originelle.

Que Hollande se proclame social-démocrate, grand bien lui fasse, ce n’est pas le souci de La Droite Libre et ne devrait pas être celui de l’UMP. La totalité des propos de Hollande depuis le 31 décembre s’inscrit dans ce qui fait sa marque de fabrique, la plus totale hypocrisie.

Il évoque un niveau insupportable d’impôts, la nécessité de réaliser des économies budgétaires, l’impératif de simplifier l’organisation administrative de la France. L’UMP et La Droite Libre seront entièrement d’accord pour la simple et bonne raison qu’elles tiennent ce discours depuis des années. Mais elles n’en donneront pas quitus pour autant à celui qui s’est évertué à faire point par point le contraire, avec une rare constance.

Inutile de s’étendre sur le matraquage fiscal. Hollande rétorque qu’il nous prend notre argent tout de suite, et pas qu’un peu, pour nous le rendre dans des proportions qui restent à déterminer dans deux, trois, quatre ans… ben voyons !

Réaliser des économies budgétaires. Les exemples fourmillent : l’instauration d’un jour de carence en cas d’arrêt de travail pour les fonctionnaires, mesure modeste prise par le gouvernement Fillon qui n’avait pas osé en instaurer trois comme c’est le cas pour les salariés du privé, avait entraîné une chute de l’absentéisme de 43 %. Supprimé ! Hollande va peut-être venir nous expliquer que ce n’était pas ainsi qu’il fallait procéder et qu’il va instaurer, lui, une demi-journée de quart de carence.

Hollande et ses affidés avaient manifesté pour empêcher l’instauration de la retraire à 62 ans. Il l’a rétablie à 60 ans sous prétexte de carrières longues. Il va lui falloir maintenant expliquer qu’il va instaurer la retraite à 60 ans plus 24 mois.

Il n’a pas eu plus urgent à faire, à part de nous imposer le mariage pour tous sauf pour lui, que d’abroger la hausse de la TVA programmée pour le 1er octobre 2012. Il a été contraint de la rétablir pour le 1er janvier 2014.

Pour écoper les dégâts qu’il a lui-même provoqués, Hollande nous fait miroiter des baisses de dépenses de 50 milliards d’euros sur trois ans. Il faut d’abord reconsidérer ce montant parce qu’il avait déjà parlé de 15 milliards d’euros d’économies en 2014. Ces 15 milliards sont donc intégrés dans les 50 qu’il prétend réaliser ; il n’en annonce, en réalité, que 35. Le problème avec les chiffres, c’est que comme disaient Henri Poincaré, puis Albert Einstein, « tout est relatif ». Qu’on parle de 35 milliards d’euros ou de 50, cela représente le total hallucinant de 0,6 ou 0,8 du PIB de la France sur trois ans. Et si l’on rapporte les substantielles économies promises par notre Normal national au gouffre abyssal de la dépense publique française, on arrive à 1 % de celle-ci ou, si l’on est généreux et qu’on prend aussi en compte les 15 milliards déjà annoncés, on arrive royalement à 1,47 %, toujours sur la période considérée. Et l’UMP devrait être embarrassée pour renvoyer Hollande dans les cordes ! Sacrebleu !

Quant à la nécessaire réforme du millefeuille territorial, la duplicité hollandiste mérite le Prix Nobel. Le rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy dès les premiers jours de son quinquennat, avait fait des propositions solides et efficaces, parmi lesquelles la suppression des départements. La Droite Libre avait, à l’époque, regretté que sous la pression des élus locaux préoccupés de conserver leurs prébendes, le gouvernement renonçât à cette idée simple et efficace. Il n’en demeure pas moins que, dès 2010, le Parlement avait contourné une grande partie de l’obstacle et instauré un changement d’envergure qui devait prendre corps dans exactement deux mois.

Le conseiller territorial devait, concomitamment aux élections municipales de mars prochain, se substituer aux conseillers généraux élus en 2008 et 2011, conjointement aux conseillers régionaux élus en 2010. Tout à sa frénésie pathologique d’effacer le travail accompli au cours des cinq années qui ont précédé son élection, Hollande s’est empressé de tout abroger, de rétablir le nombre initial de conseillers généraux avec un mode de scrutin baroque, et de conseillers régionaux et de retarder les élections d’un an. Sarkozy avait, pour ainsi dire, supprimé les conseils généraux et lui vient nous dire aujourd’hui qu’il faut simplifier le millefeuille.

Il y a même plus grave : la loi de 2010, celle qui a créé le conseiller territorial, avait abrogé la clause de compétence générale par laquelle toutes les instances élues pouvaient travailler sur tous les dossiers qu’elles souhaitaient, redondances et gaspillages à l’appui. Elle a été rétablie par la majorité hollandiste en… décembre 2013. Et un mois après, l’autre nous fait son numéro. La malhonnêteté intellectuelle est forgée dans un culot en acier trempé.

À l’aune d’un tel désastre, il n’y a qu’une réponse à fournir. Non ! Hollande ne prend pas un virage par lequel il appliquerait une politique que ne renierait pas l’UMP. Il essaie, après avoir mis le pays à genou, de rafistoler ce qui peut l’être en rétablissant très partiellement quelques bonnes décisions qui avaient été prises avant lui.

Mais cela ne l’exonère de rien du tout, d’autant qu’il tente cet ultime bricolage en poursuivant une politique sans précédent de destruction des bases de notre société : qu’il s’agisse de la famille, de l’école, des libertés publiques, pas un jour ne se passe sans que le pilote de scooter casqué n’y porte atteinte. Une seule préoccupation pour lui : faire accepter par les ultra-gauchistes de sa majorité le contraire de ce qu’ils lui ont imposé depuis deux ans. L’ensemble en portant atteinte à l’image de la France en portant un costume de président beaucoup trop grand pour lui.

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