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26 Mar2014

Du balai, suite…

Ecrit par 26 mars 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, Du balai !!!, France, Politique, Société

L’ineffable spécialiste des coups de menton que certains annoncent à Matignon pour très bientôt, a fait un tour de France anti-Front national qui l’a emmené, entre autres, à Hénin-Beaumont, Forbach, Avignon. Avec le résultat que l’on sait et qui est la preuve irréfutable que les gesticulations socialistes, dont la moins pitoyable ne fut pas celle de Jean-Marc Ayrault dimanche soir, n’ont pour seul objectif que d’installer le Front national comme seule opposition à son pouvoir.

En 1983, en pleine Guerre Froide, avec Youri Andropov à la tête de l’URSS, le Parti socialiste, alors dirigé par Lionel Jospin, avait décidé d’exclure le maire d’Anger, Jean Monnier, élu en 1977, pour avoir refusé de prendre des communistes sur sa liste. Aujourd’hui, alors qu’un imbécile se vante dans Le Nouvel Observateur de quitter Béziers si Robert Ménard en devient le maire, le même Parti socialiste exclut son candidat dans la ville pour avoir refusé de se retirer, facilitant ainsi la victoire de Robert Ménard.

Aux idiots utiles d’hier, ont succédé les faux-culs d’aujourd’hui.

Robert Ménard a fondé en 1985 Reporters sans Frontières pour porter haut la liberté d’expression et celle de la presse. Il a été interdit de séjour à Cuba, en Algérie, il s’est battu au Tibet contre la dictature chinoise. Il a parcouru la planète entière, parfois au risque de sa vie, pour faire libérer des journalistes muselés.

Voilà donc le fasciste, le nazillon, l'anti-républicain, même pas membre du Front national, qu’il faut absolument interdire d’accéder à la mairie de sa ville en vertu d’un oukase prononcé par qui ? par des résistants autoproclamés qui n’ont affronté d’autres dangereux malfaiteurs que les journalistes qui ne sont pas dans leur ligne, les automobilistes, les familles qui veulent maintenir au mot mariage son sens immémorial, un ancien patineur dont ils n’apprécient pas l’humour un peu lourd, le tout sur les plateaux, non pas du Tibet, mais de la télévision, bien à l’abri du boulevard périphérique parisien.

Une seule attitude à l’égard de tous ces gredins, même si je me répète : du balai !

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10 Mar2014

Des écoutes illégales pour une chasse à l’homme

Ecrit par 10 mars 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, France, Politique

La Droite Libre ne cesse de dénoncer le recul des libertés publiques. Le pouvoir est clairement aux mains d’une gauche extrême qui aurait tort de se gêner, l’opposition persistant au mieux, à se mettre aux abonnés absents, au pire à lui prêter main forte, comme, par exemple, lors de la funeste farce Dieudonné. Il faut que la situation soit gravissime pour qu’enfin, le quotidien L’Opinion titre hier 10 mars sur la “violence d’État”. Il y a effectivement violence d’État : les abus fiscaux ne sont plus qu’un vol organisé ; le droit de propriété est sérieusement écorné avec l’Alur sinistre (Accès au logement et à un urbanisme rénové) de Duflot ; de même que celui d’entreprendre avec toutes les contraintes réglementaires, à commencer par un code du travail de 8 000 pages. Quant à la liberté d’aller et venir tout simplement au bordel, elle a été carrément abrogée.

Tout cela sur un fond terrifiant de disparition de la liberté d’expression. Une phrase, un mot, voire maintenant l’idée même d’aborder un sujet banni par le politiquement correct, envoie directement son auteur au tribunal. Cette violence d’État franchit un pas supplémentaire.

Il y eut l’affaire Dieudonné dans laquelle un juge des référés a trouvé le moyen d’interdire un spectacle en quelques heures. Aujourd’hui, on découvre que Nicolas Sarkozy et son avocat, Thierry Herzog, à qui on a confisqué les téléphones, sont sur écoute depuis près d’un an. Dans un cas comme dans l’autre, le chef de file de l’ultra-gauche gouvernementale, Christiane Taubira, prétend n’y être pour rien. Il est probable qu’elle n’ait, effectivement, donné aucune consigne directe ; ses relais de l’ultra-gauche de la magistrature s’en chargent fort bien à sa place.

Dans cette affaire, comme dans l’interdiction du spectacle de Dieudonné, les juges ont devancé les desiderata des ministres et surtout, ceux de Hollande. Se souciant de la France comme d’une guigne, celui-ci n’a qu’une préoccupation, celle de se maintenir au pouvoir en 2017. Unique moyen d’y parvenir : d’abord éliminer Sarkozy, ensuite, faire obtenir un score fleuve à Marine Le Pen pour l’affronter au second tour. Le PS et ses satellites sont mobilisés vers cet objectif unique, quitte à enfreindre la loi.

Non qu’il soit illicite de mettre un ancien président de la République sur écoutes ; mais il est illégal de les utiliser à d’autres fins que celles pour lesquelles elles ont été autorisées. En avril 2013, Nicolas Sarkozy et son avocat ont été mis sur écoutes pour prouver que Kadhafi avait financé la campagne électorale de 2007, selon les allégations d’individus aussi recommandables que le fils du dictateur libyen et l’affairiste Takieddine. Près d’un an de violation des correspondances téléphoniques plus tard, rien n’a confirmé ces élucubrations. En revanche, on aurait découvert que Sarkozy et son avocat étaient trop bien renseignés sur l’affaire Bettencourt, grâce à un magistrat qui, en échange, aurait demandé un coup de pouce pour se faire muter dans une sinécure à Monaco. Immédiatement, le Conseil d’État de Monaco a annoncé n’avoir été saisi d’aucune intercession en faveur de ce magistrat dont la candidature n’a pas été retenue.

Résumé : des magistrats qui ont signé la lettre ouverte du Syndicat de la magistrature appelant à voter contre Nicolas Sarkozy en 2007, écoutent ses conversations téléphoniques depuis un an. Ils ne trouvent rigoureusement rien concernant l’objet de ces écoutes. Ils prétendent avoir trouvé quelque chose qui n’existe pas et qu’ils n’avaient pas le droit de chercher dans une affaire dans laquelle Sarkozy a obtenu un non-lieu. Fermez le ban !

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12 Fév2014

LES HABITS NEUFS DU PRESIDENT HOLLANDE

Ecrit par 12 février 2014. Gabriel Levy. Publié dans Actualité, France, Société

     Ce titre n’est pas original. Il a été utilisé de nombreuses fois en référence au conte de Hans Andersen. Le président revêt depuis quelques jours de nouveaux habits, mais nous n’avons pas attendu la réflexion d’un enfant pour savoir que « le roi est nu », et que sa « boite à outils » est vide. Mais c’est toujours le roi.

Et, – feuille de vigne pour cacher cette nudité – il va nous imposer, ou tenter de le faire, des modifications fondamentales de notre société portant sur notre identité nationale, notre passé, notre histoire avec sa grandeur et ses vicissitudes, notre culture, notre langage jusqu’au ridicule (on ne gèrera plus « en père de famille »), l’organisation de la famille, et cette ineptie de l’égalité forcée Homme-Femme, ou Femme-Homme, qui conduit à oublier le mérite au profit du sexe. Madame Françoise Giroud avait raison en prédisant que « la femme sera l'égale de l'homme le jour où à un poste important, on désignera une femme incompétente ». Bingo ! Voici désormais la République des contingents. Qu’importe le talent, puisqu’il faut élire la moitié de femmes à l’Académie Française.

Electeurs, nous avons perdu notre libre arbitre puisque nous ne pouvons pas nous déterminer en fonction des aptitudes, mais nous devons subir la loi du sexe. La promotion de l’inégalité, par ceux qui proposent justement son effacement ! Ainsi ses ministres s’ingénient-ils à imposer une « théorie du genre », censée lutter contre quelques stéréotypes de notre organisation ancestrale. Nous avions rappelé, dans un article intitulé « la théorie du genre versus la « société bourgeoise », que le but était tout autre, qu’elle mimait les tentatives, dans les années 50, des partis communistes soviétique et français pour faire admettre la mystification selon laquelle « l’hérédité dépend à 90 % de l’environnement et qu’elle est donc modifiable » (Mitchourine et Lyssenko).

« Modifier » la société, c’est bien le souhait de celui que les Français ont élu. En aura-t-il le temps ? Son successeur pourra-t-il se vanter, au terme de son mandat, comme l’empereur Auguste « d’avoir hérité d’une ville en ruine et de laisser un palais en marbre » ? Probablement pas car, tout conjure à nous intoxiquer : la pression d’un peuple blotti dans un confort provisoire, une fraction importante de ce dernier nourrie au breuvage marxiste et entretenue depuis 50 ans par des clercs à l’esprit fumeux, une immigration qui modifie de façon considérable la composition de la nation grâce au droit de vote acquis par le droit du sol, et des faux prophètes, dits de droite, qui s’engagent à réformer le pays mais qui se gardent bien d’en prendre le risque. La crise économique en France est surtout secondaire à la fragilité de notre société et à la perte de nos repères. Il faut donc refuser ce que l’on cherche à nous imposer (une société sans classe, sans sexe, sans passé ou au passé déformé, une « ville ouverte ») et espérer trouver rapidement des dirigeants lucides et oublieux de leur carrière.

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29 Jan2014

France, pays totalitaire

Ecrit par 29 janvier 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, France

Le recul des libertés publiques, patent depuis plusieurs années, vient encore de franchir un pas. En première lecture vient d’être adopté par l’Assemblée nationale, un texte présenté comme devant améliorer l’égalité hommes-femmes. Un fourre-tout effroyable d’obligations, de contraintes, de menaces.

L’Assemblée se mêle désormais de dicter aux écoles de journalisme un programme « de lutte contre les préjugés sexistes » et autres billevesées du même acabit. Entre autres votes, elles somme l’Institut de France, c’est-à-dire les cinq Académies, d’élire des femmes. Les parlementaires en arrivent ainsi à confondre et amalgamer l’élite de la nation aux politicards incompétents, prétentieux, couards et arrivistes dont la France est aujourd’hui affligée.

Le pire ne réside même pas là. Nous sommes hélas habitués à cette inflation législative qui finira bien, un jour ou l’autre, à faire comprendre que la démocratie représentative ne permet pas aux parlementaires de voter tout et n’importe quoi. Et surtout pas de légiférer sur et contre les fondations mêmes de toute une civilisation. La démocratie recule chaque jour un peu plus au profit de la dictature des lobbies et des bien-pensants.

Mais il y a pire que la dictature : le totalitarisme. Le totalitarisme est avéré lorsqu’on n’ose même plus s’exprimer. Les intellectuels de gauche, aujourd’hui aux abonnés absents, appelaient ça l’autocensure. Désormais, ce sont même les représentants du peuple qui se font oublier parce que leur peur du qu’en dira-t-on est plus forte que le respect du mandat que leurs électeurs leur ont confié.

C’est très exactement ce qui vient de se passer : ce texte abominable, une injure à la démocratie, à la libre expression, et tout simplement en contradiction avec la déclaration universelle des droits de l’homme, a été approuvé par 359 voix contre seulement… 24. Cela signifie que, sur les 237 députés d’opposition, il n’y en a eu qu’un sur dix pour oser dire non. Ne parlons même pas des 21 élus de l’UMP, dont évidemment, Nathalie Kosciusko-Morizet – les électeurs parisiens apprécieront – qui ont approuvé cette horreur. L’UMP s’est abstenue en masse parce qu’elle n’a, évidemment, pas osé s’opposer à un texte présenté comme un progrès dans l’égalité.

Nous en sommes à un tel point de formatage de la pensée par une infime minorité de directeurs de conscience abrités à l’intérieur du boulevard périphérique de Paris que, même ceux qui sont mandatés par le peuple pour les représenter, se taisent. On leur présente un texte prétendant à l’égalité entre hommes et femmes ; évidemment nous y sommes tous favorables. C’est ainsi que les députés ne prennent pas la peine d’en lire le contenu pour constater que sous ce prétexte, on y instaure de nouveaux ferments de dictature.

De Robespierre à Lénine, les pires dictatures, les dictatures totalitaires, à ne pas confondre avec les régimes autoritaires sous la coupe d’un homme à poigne qui, en général, s’effondrent en même temps que le bonhomme, ont toujours été bâties sous prétexte de bonheur et d’égalité.


 

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