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25 Nov2014

Hervé Mariton, candidat libéral-conservateur

Ecrit par 25 novembre 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité

Si La Droite Libre rappelle encore aujourd’hui qu’elle est un mouvement fondé pour défendre les valeurs de droite au sein de l’UMP, c’est parce que se pose une question qui ne devrait pas se poser. L’UMP, c’est-à-dire ses dirigeants, n’a plus de conviction, plus de socle de valeurs. Sa pratique du pouvoir dix années durant comme son comportement dans l’opposition depuis deux ans, en témoignent.

À l’exception notable de la période de cohabitation 1986-1988, au cours de laquelle Jacques Chirac avait tenté quelques mesures inscrites à la plateforme gouvernementale RPR-UDF, à aucun moment les victoires électorales n’ont été suivies de l’application du programme validé par les électeurs.

Dans l’opposition depuis deux ans, l’UMP n’a guère fait mieux. La seule manifestation un tant soit peu significative de son existence face aux agressions incessantes de la présidence Hollande contre la nation, sa cohésion comme sa prospérité, les libertés, la famille, a été le conseil national du 25 janvier dernier au cours duquel ont été approuvées quelques mesures de réduction de dépenses publiques et de simplification du droit du travail ainsi que quelques évidences, comme le retour à la retraite à 65 ans ou la non-rétroactivité fiscale. Si modestes soient-elles, ces propositions ont été ostensiblement boudées par un Alain Juppé qui avait fait savoir que ce programme était trop libéral. Motif : il était indiqué noir sur blanc que la dépense publique devait descendre à… 50 % du PIB.

La Droite Libre a donc été fondée sur le rejet de la part des électeurs comme des militants d’une droite comme celle-ci. La traditionnelle analyse de René Rémond distinguait trois droites : légitimiste, orléaniste et bonapartiste. Pour simplifier, et dans tous les pays du monde, la droite est composée des libéraux et des conservateurs. Il subsiste bien, en France, une vieille tradition, appelons-là bonapartiste, très anti-libérale mais, comme le dit Hervé Mariton, dans son dernier ouvrage, Le bonheur regarde à droite, il n’a pas vu beaucoup de ces spécimens parmi tous les électeurs qu’ils a rencontrés. Ils ne se recrutent que parmi des dirigeants du parti ou se prétendent comme tels, dont la principale caractéristique est d’être interchangables avec ceux de la gauche médiatique.

L’élection du président de l’UMP en 2012 avait été un désastre d’abord parce que chacun des deux candidats ne considérait cette élection que comme un marchepied vers la présidentielle de 2017. Pas de programme, pas d’idées, une seule préoccupation : assécher les parrainages pour empêcher l’émergence de nouvelles têtes.

Si l’on renouvelle l’erreur de confondre les deux échéances, l’UMP continuera à être inutile. Elle arrivera peut-être aux affaires dans trente mois. Mais ce sera pour décevoir avec, au terme du mandat, la poursuite de la courbe ascendante d’un Front national qui n’a plus grand-chose d’un parti de droite.

Même si les médias rappellent qu’Hervé Mariton se présente comme le candidat libéral-conservateur, ils ne soulignent pas le bouleversement dans notre pays qu’est l’affirmation sans ambages d’une telle profession de foi. Seule La Droite Libre avait osé, dès l’origine, se définir ainsi. Nous sommes heureux de constater qu’enfin un candidat ose revendiquer l’identité de la droite, en même temps qu’il lui imprime un objectif.

C’est en rendant à l’UMP un vrai socle de valeurs sur lequel sera présenté un programme de gouvernement cohérent que l’alternance sera efficace et que la France se redressera. Pour conduire cette action, l’UMP a besoin du candidat des convictions. C’est Hervé Mariton.

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29 Sep2014

C’est bien une débâcle socialiste au Sénat

Ecrit par 29 septembre 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité

Ce n'est pas parce qu'on répète en boucle le même mensonge que ça devient une vérité. Depuis dimanche après-midi, les socialistes répètent que les élections sénatoriales ne se sont pas soldées par la bérézina attendue et cette affirmation est reprise sans le moindre esprit critique. La plupart des commentateurs prétendent que la gauche résiste. Rappelons les faits : le Sénat n'a été renouvelé qu'à moitié hier et c'était la moitié la plus favorable à l'opposition nationale. En d'autres termes, l'UMP, l'UDI et les divers droite avaient plus de sièges à renouveler que le PS et ses alliés.

On constate que ceux-ci qui disposaient d'une majorité de 6 sièges (178 contre 167) descendent à 157 contre 191. Ils perdent donc 21 sièges alors que sur les 178 sièges à renouveler, seulement 59 devaient l’être au scrutin majoritaire.

Les rodomontades socialistes reposent uniquement sur deux départements : la contre-performance de l’UMP dans les Bouches-du-Rhône où la liste Gaudin a manqué de 5 voix un quatrième siège, au profit de la socialiste Samia Ghali. Le PS peut toujours dire qu’il a limité les dégâts parce qu’il pensait n’avoir aucun siège dans les Bouches-du-Rhône.

Le seul autre motif de satisfaction des socialistes réside dans la Drôme où ceux-ci qui disposaient des trois sièges grâce au scrutin majoritaire n’en perdent qu’un seul à la proportionnelle parce qu’ils pensaient en perdre deux. Et surtout que l’élu qui a réussi cet exploit est le président de leur groupe.

Le PS limiterait donc les dégâts parce qu’il a deux sièges de plus qu’il ne croyait… Bigre ! mais c’est faux. En instaurant la proportionnelle dans les départements à trois sénateurs, il espérait en faire élire un dans l’Eure, en Eure-et-Loir, en Savoie et en Vendée. Sa manipulation n’a pas fonctionné, puisque les trois sièges sont allés à l’opposition. Total : le PS en escomptait donc deux de moins dans les Bouches-du-Rhône et la Drôme et en espérait quatre de plus ailleurs. Il est donc à moins deux.

Soyons justes : il ne pensait pas en gagner un dans le Vaucluse où il a profité des listes dissidentes à droite et craignait beaucoup en Dordogne où il a sauvé ses deux sièges au majoritaire. Mais, comme dirait Cambadélis en réponse à sa collègue socialiste qui stigmatisait des achats de voix dans les Bouches-du-Rhône, dans ce département, la tête de liste socialiste est président du Conseil général.

On en arrive donc à un PS qui, après analyse précise et détaillée, obtient un siège de plus qu’il n’espérait. Quel vigoureux frein à la bérézina ! on en reste pantois.

Qu’il nous dise d’ores et déjà combien il perdra de sénateurs en 2017, lorsque la totalité de la Haute Assemblée aura été renouvelée après les municipales de cette année ! La bérézina socialiste ne sera alors qu’une vaguelette bleue s’il en perd un de moins…

 

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22 Sep2014

Intégration à la française

Ecrit par 22 septembre 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, Société

Bien qu'il ne s'agisse pas d'une règle absolue, il arrive que les jeunes fiancés demandent à être reçus en mairie quelques jours avant leur mariage, histoire de se rassurer en prévision d’un instant qui promet d’être émouvant.

Avec bonne volonté et beaucoup d’empathie, une adjointe au maire d’une coquette petite ville d’Ile-de-France, a rencontré récemment deux jeunes gens plutôt sympathiques à qui elle a détaillé la future cérémonie. Elle leur a expliqué à quoi le mariage les engageait légalement tout en leur posant quelques questions pour en savoir un minimum sur la personnalité de ceux qu’elle allait marier.

À la clef, des réponses toutes plus édifiantes les unes que les autres. Apprenant que le futur mari, né en métropole de parents algériens, était français, l’édile s’enquit de la nationalité de la promise. Et celle-ci de répondre que, née en Algérie, elle a demandé et obtenu la nationalité française très facilement, parce qu’elle tenait à être elle-même Française et pas, uniquement, par mariage.

Heureuse qu’une jeune dame tienne à être Française par elle-même et pas par artifice, la gentille adjointe eut tout de même la présence d’esprit de ne pas l’en féliciter trop vite. En tout cas pas avant de savoir pourquoi elle tenait à être Française. Réponse spontanée : « parce que c’est commode ! »

Interloquée par pareille désinvolture et ravalant ses félicitations, Madame l’adjointe s’est simplement contentée de demander pourquoi c’était plus commode. « C’est plus facile pour trouver du travail et un logement… »

D’interloquée, elle en devint stupéfaite. Elle se contenta alors de demander aux deux tourtereaux s’ils envisageaient de célébrer un mariage religieux. « C’est déjà fait », répondit l’un des deux. À ce stade, la malheureuse élue locale ne se souvient même plus lequel a répondu le premier… Elle se souvient, en revanche, parfaitement de leur avoir rappelé la loi : « Mais vous savez que c’est interdit. Le prêtre ne peut célébrer de mariage religieux qu’entre deux époux légalement mariés ? Réponse : « mais c’était pratique, l’imam est un ami de la famille, il nous a mariés cet été au pays… »

L’histoire ne dit pas si l’adjointe a questionné les deux fiancés pour savoir à quel pays ils pensaient, eux qui ont la nationalité française… parce que c’est commode. Elle ne dit pas non plus si le préfet du département a porté plainte contre l’imam en question. Mais, comme disait Molière… « la justice en pleine mer… ». C’était déjà pour une histoire d’individu emmené comme esclave « en Alger ».

Aujourd’hui en France, les gens « intégrés » obtiennent la nationalité française parce que c’est commode et enfreignent la loi parce que c’est pratique. À ce tarif-là, inutile de se demander ce que font ceux qui ne sont pas « intégrés ».

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16 Juin2014

Apéritif saucisson-pinard à l’Hôtel de Ville le 9 juillet

Ecrit par 16 juin 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, Agenda, Société

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Le 18 juin 2010, nous avions participé à un apéritif saucisson-pinard pour marquer notre opposition aux prières musulmanes dans la rue. Le 9 juillet prochain, nous invitons tous les Français attachés aux valeurs traditionnelles de notre civilisation et opposés au remplacement de notre peuple, à se joindre à un nouvel apéritif saucisson-pinard devant l’Hôtel de Ville de Paris, à partir de 17 h 30.

Nous répondons bien volontiers à l’appel de nos amis de Riposte laïque et de Résistance républicaine (http://resistancerepublicaine.eu/2014/9-juillet-mobilisation-generale-contre-le-ramadan-a-la-mairie-de-paris/) qui entendent, ainsi, s’insurger contre la décision du maire de Paris, Anne Hidalgo, de célébrer le ramadan au prix d’une facture de 70 000 € pour les contribuables parisiens. Outre que cette initiative est scandaleuse parce que parfaitement illégale au regard de la loi de 1905 qui définit la France comme une nation laïque ne reconnaissant aucun culte, elle est une injure à tous les chrétiens qui n’ont pas souvenir que Mme Hidalgo ait célébré le 5 mars dernier, le début du carême.

 

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