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02 Avr2014

Georges Pompidou (1911-1974)

Ecrit par 2 avril 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, Culture, France, Politique

Il y a 40 ans, au soir du 2 avril 1974, une dépêche laconique annonçait la disparition du Président de la République, Georges Pompidou. Les commentateurs qui ne cessent de comparer de Gaulle et Mitterrand, ne parlent guère de lui. Il n’en serait pas marri, lui qui disait se préoccuper du travail qu’il aurait fourni plutôt que de la trace qu’il laisserait ou pas dans l’Histoire.

Suggérons tout de même aux maires nouvellement élus de lui rendre hommage par des voies portant le nom de Georges-Pompidou et qui sont bien rares. Il le mérite plus qu’amplement, en tout cas davantage que son successeur socialiste qui a donné le signal du déclin de la France.

Georges Pompidou, c’est l’homme du parc électro-nucléaire français ; c’est celui du rattrapage du retard dans les télécommunications et les autoroutes. C’est celui de la croissance de 5 % par an : en 1973, Edmund Stillman et son équipe du Hudson Institute, avaient pronostiqué l’envol de la France qui devenait devenir en 1980 le pays le plus riche d’Europe avec la Suisse et la Suède. Les choix exclusivement keynésiens effectués ensuite par Valéry Giscard d’Estaing, ont enrayé la marche en avant.

Simultanément à cette croissance effrénée, la France se dotait du premier ministère de l’Environnement au monde, confié à Robert Poujade. En même temps qu’il fut celui qui enclencha l’inversion de la courbe de la mortalité routière, en 1972, Georges Pompidou s’était contenté de limitations de vitesse adaptées aux voitures de l’époque.

Il avait, chevillé au corps, à la fois la défense de nos paysages et de notre patrimoine architectural et celui de nos libertés publiques. À 1 000 lieues des khmers verts d’aujourd’hui qui ne conçoivent l’écologie que punitive justement parce que l’environnement est le dernier de leurs soucis, loin derrière leur préoccupation de formater la société selon leur volonté.

Georges Pompidou avait, très tôt, manifesté sa crainte de n’avoir pas le temps de rédiger ses mémoires. Mais il avait aussi précisé qu’il n’en avait pas forcément le désir. Il était préoccupé de l’avenir de la France après lui mais pas de la prochaine échéance électorale, encore moins de la trace qu’il laisserait. C’est ainsi qu’il en a laissée une indélébile dans le cœur des patriotes.

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02 Avr2014

Non-événement

Ecrit par 2 avril 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, France, Politique

En dépit de ses proclamations, Hollande n’a évidemment pas entendu le message des Français. C’est lui que nous ne supportons pas à la tête du pays ; certainement pas le commode bouc-émissaire, Jean-Marc Ayrault. Fidèle à lui-même, il a imaginé une combine tordue en nommant Valls à Matignon pour carboniser quelqu’un susceptible de lui faire de l’ombre. Tout cela n’a rigoureusement aucun intérêt, c’est la dernière préoccupation des Français.

La seule satisfaction qu’on puisse tirer de ce non-événement est désormais la part congrue dévolue à l’extrême-gauche dans ce gouvernement avec le départ des verts et de Vincent Peillon. Malheureusement, Taubira et Belkacem sont toujours là.

Quant à Royal qui remplace Trierweiler… chacun appréciera.

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31 Mar2014

Des vessies pour des lanternes

Ecrit par 31 mars 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité, France, Politique

Le 17 février dernier, nous appelions à un effondrement total et partout de la gauche et de ses alliés. Le succès semble avoir dépassé nos espérances à quelques fausses notes près, exclusivement dues à la présence du Front national au second tour dont la capacité de nuisance s’est toutefois considérablement amoindrie. Avignon, Metz, Rouen en sont les exemples les plus significatifs.

Une exception : Paris. Soucieuse de complaire aux médias plutôt qu’aux électeurs, l’UMP a organisé de pseudo-primaires qui n’avaient pas pour but de désigner un candidat à la mairie mais de désigner Nathalie Kosciusko-Morizet. Le raisonnement partait du principe que Paris étant une ville de gauche, il suffisait de présenter une candidate de gauche. Accessoirement, on la badge UMP.

Une stratégie du mépris de l’électeur à qui on a tenté de vendre des vessies pour des lanternes avec le résultat que l’on sait. Mais c’est aussi une stratégie défaitiste. Au nom de quoi Paris resterait-elle à gauche indéfiniment ? ses habitants sont-ils satisfaits des impôts ? de la chasse à l’automobiliste ? des embouteillages permanents ? de l’inflation des effectifs municipaux ? des subventions faramineuses au profit d’activistes d’extrême-gauche au nom d’un prétendu droit supérieur des minorités ?

Aucune de ces questions n’a été abordée durant la campagne parisienne. Et pour cause : les deux candidates étaient des jumelles. L’original l’a emporté sur la copie. C’est un poncif éculé, certes, mais il est juste.

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30 Mar2014

CELA CHANGE QUOI ?

Ecrit par 30 mars 2014. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

CELA CHANGE QUOI ?
Gabriel Lévy
28 mars 2014

Enfin, la presse de gauche consent à toucher à l’icône et tant pis si la dorure lui reste sur les mains.
Citons Le Monde du 28 mars (tardif, n’est-ce pas ?) : « Ainsi donc, la garde des sceaux, Christiane Taubira, aurait menti sur son CV. Dans son dernier ouvrage, le magistrat Philippe Bilger assure que Mme Taubira « a laissé dire » à tort « qu'elle avait deux doctorats », sans jamais le contester dans « l'espace médiatique ». L'accusation, relayée dans un « confidentiel » du Nouvel Observateur du jeudi 27 mars, s'est répandue comme une traînée de poudre sur Internet, notamment sur plusieurs sites d'extrême droite ».
Cela change quoi, pour la révélation d’un mensonge, de paraître sur « des sites d’extrême droite » ? D’être lue par « des pelés et des galeux » ? Notre précédent billet d’humeur aurait-il contribué à répandre la « peste noire » ? Le quotidien est une fois de plus stupide, puisqu’il confère aux sites d’extrême droite l’exclusivité d’une information exacte, ce qui n’est probablement pas ce qu’il souhaitait.
Car un mensonge est toujours un mensonge. Il a pour but d’être contraire à la vérité ou de la dissimuler. En la circonstance, il ne s’agit pas de la litote, rhétorique préférée des gouvernants, mais d’un désir de tromper, et les journalistes qui filtrent l’information qu’ils nous donnent, savent pourtant la perversité d’un mensonge. Il est comme la calomnie : « Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ». Mais aussi loin qu’il court, il finit par être rattrapé.
Madame Taubira n’avait probablement pas besoin de se parer de titres universitaires non obtenus, puisqu’elle en a d’autres convenables. Ce mensonge ne servait pas à autrui ; il était inutile pour ses amis politiques ; il n’était pas destiné à apaiser une douleur comme il est parfois nécessaire de le faire. Non, il ne servait que sa « gloire ». Nous pensions que le diable avait deux cornes, le mensonge et l’orgueil, l’orgueil suffit à faire naître le mensonge.
Il est dit que « l’orgueilleux préférera se perdre que de demander son chemin ». Espérons qu’elle n’aura pas à le faire pour reconnaitre celui de la sortie. On peut croire (on peut ?) à la justice de son pays, mais gardez-vous de croire à la ministre qui la dirige. Un seul mensonge suffit à disqualifier le Prince.

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