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28 Nov2014

METTONS FIN A L’AIDE FINANCIERE A LA TURQUIE

Ecrit par 28 novembre 2014. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

~~A l’initiative de notre association (contribuables de l’intercommunalité d’Aubagne), l’association « contribuables associés » (340 000 adhérents) a mis en ligne sur son site la pétition suivante adressée au ministre des affaires étrangères.
Nous vous avions déjà  entretenu, dans les mêmes termes, de la duperie qui consiste à faire financer par les contribuables français et européens la pré adhésion de la Turquie à l’Union Européenne, alors que la majorité des Français ne la souhaite pas et que la plupart de nos parlementaires (mais hélas bien silencieux sur le sujet) estime qu’elle ne se réalisera jamais.

En d’autres termes, on dispose de l’argent des contribuables dans des conditions qui font que le mot duperie est probablement trop faible.


Mettons fin à l'aide financière à la Turquie !
Pétition à l'attention de M. Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères.
 : http://www.contribuables.org/petitions/mettons-fin-a-l-aide-financiere-a-la-turquie .

Monsieur le Ministre,
 
Depuis maintenant plusieurs décennies, la Turquie est candidate à l’adhésion à l’Union européenne.
À cette fin, le gouvernement d’Ankara a reçu des milliards d’euros de la part des contribuables européens afin de financer l’« aide à la transition, le renforcement des institutions, la coopération transfrontalière et régionale, le développement régional, le développement des ressources humaines et le développement rural. »
La France étant contributrice à hauteur de 18,2 % du budget de l’Union européenne, elle a donc dû s’acquitter ces dernières années de centaines de millions d’euros. Rien que sur la période 2007-2013, les contribuables français ont versé 892 millions d’euros au régime de M. Erdogan, sur 4,9 milliards d’euros versés par tous les Européens.
Outre le fait qu’une nette majorité de Français, de toutes sensibilités, est opposée à l’entrée de la Turquie (64 % selon les sondages), on peut se demander si ces sommes colossales sont bien utilisées.
Selon un rapport de la Cour des comptes européenne datant déjà de 2009, les réformes attendues d’Ankara en contrepartie de l’aide financière des contribuables européens ont enregistré « des retards excessifs », des «difficultés de mise en œuvre » et ont été l’objet d’«une évaluation et un contrôle inadéquats».
Selon ce même rapport, « sur les 11 projets contrôlés, deux seulement définissaient réellement leurs besoins spécifiques, en matière d'équipements, installations, activités à mettre en place nécessaires à la mise en œuvre du projet. Ainsi, en ne définissant pas leur besoins et leurs objectifs, les gestionnaires de projets ne se donnaient pas d'obligation de réussite. Ainsi, nous pouvons donc estimer que 18% des 132 projets ont été menés à bien ».
En réalité, les subventions que les gouvernements européens versent à Ankara sans consulter les citoyens servent à construire le nouveau palais présidentiel de Recep Tayyip Erdogan, ancien Premier ministre qui veut « marquer le coup » depuis son accession à la magistrature suprême : 200 000 mètres carrés, 1000 chambres, voilà à quoi servent les milliards d’euros payés par les Français et les autres Européens à un régime qui ne fait pas les réformes de modernisation qu’il est censé mettre en œuvre !
L’affaire est d’autant plus grave que la Turquie, membre de l’OTAN et en principe alliée de la France et de l’Europe, a laissé se dérouler à ses portes, en Syrie et en Irak, un conflit où des terroristes, parfois venus de France et d’autres pays européens, se livraient à des actes de barbarie qu’ils menacent à présent de venir réitérer chez nous !
Chaque année, les contribuables français paient donc des centaines de millions d’euros à un régime qui non seulement ne fait pas les réformes qui en sont la contrepartie, mais en plus laisse se développer le terrorisme qui menace à présent notre pays !
M. le ministre des Affaires étrangères, pour la sécurité des Français mais aussi pour le respect dû à l’argent des contribuables, je vous demande de mettre fin à l’aide financière à la Turquie, d’autant plus inacceptable que les déficits publics sont abyssaux, que la dette publique vient de dépasser 2000 milliards d’euros et que la pression fiscale atteint des niveaux insupportables pour les Français alors que la croissance et l’emploi sont en berne.
M. le ministre des Affaires étrangères, mettez fin à l’aide financière à la Turquie !
 
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma plus haute considération.

 

 

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25 Nov2014

Hervé Mariton, candidat libéral-conservateur

Ecrit par 25 novembre 2014. Tarick Dali. Publié dans Actualité

Si La Droite Libre rappelle encore aujourd’hui qu’elle est un mouvement fondé pour défendre les valeurs de droite au sein de l’UMP, c’est parce que se pose une question qui ne devrait pas se poser. L’UMP, c’est-à-dire ses dirigeants, n’a plus de conviction, plus de socle de valeurs. Sa pratique du pouvoir dix années durant comme son comportement dans l’opposition depuis deux ans, en témoignent.

À l’exception notable de la période de cohabitation 1986-1988, au cours de laquelle Jacques Chirac avait tenté quelques mesures inscrites à la plateforme gouvernementale RPR-UDF, à aucun moment les victoires électorales n’ont été suivies de l’application du programme validé par les électeurs.

Dans l’opposition depuis deux ans, l’UMP n’a guère fait mieux. La seule manifestation un tant soit peu significative de son existence face aux agressions incessantes de la présidence Hollande contre la nation, sa cohésion comme sa prospérité, les libertés, la famille, a été le conseil national du 25 janvier dernier au cours duquel ont été approuvées quelques mesures de réduction de dépenses publiques et de simplification du droit du travail ainsi que quelques évidences, comme le retour à la retraite à 65 ans ou la non-rétroactivité fiscale. Si modestes soient-elles, ces propositions ont été ostensiblement boudées par un Alain Juppé qui avait fait savoir que ce programme était trop libéral. Motif : il était indiqué noir sur blanc que la dépense publique devait descendre à… 50 % du PIB.

La Droite Libre a donc été fondée sur le rejet de la part des électeurs comme des militants d’une droite comme celle-ci. La traditionnelle analyse de René Rémond distinguait trois droites : légitimiste, orléaniste et bonapartiste. Pour simplifier, et dans tous les pays du monde, la droite est composée des libéraux et des conservateurs. Il subsiste bien, en France, une vieille tradition, appelons-là bonapartiste, très anti-libérale mais, comme le dit Hervé Mariton, dans son dernier ouvrage, Le bonheur regarde à droite, il n’a pas vu beaucoup de ces spécimens parmi tous les électeurs qu’ils a rencontrés. Ils ne se recrutent que parmi des dirigeants du parti ou se prétendent comme tels, dont la principale caractéristique est d’être interchangables avec ceux de la gauche médiatique.

L’élection du président de l’UMP en 2012 avait été un désastre d’abord parce que chacun des deux candidats ne considérait cette élection que comme un marchepied vers la présidentielle de 2017. Pas de programme, pas d’idées, une seule préoccupation : assécher les parrainages pour empêcher l’émergence de nouvelles têtes.

Si l’on renouvelle l’erreur de confondre les deux échéances, l’UMP continuera à être inutile. Elle arrivera peut-être aux affaires dans trente mois. Mais ce sera pour décevoir avec, au terme du mandat, la poursuite de la courbe ascendante d’un Front national qui n’a plus grand-chose d’un parti de droite.

Même si les médias rappellent qu’Hervé Mariton se présente comme le candidat libéral-conservateur, ils ne soulignent pas le bouleversement dans notre pays qu’est l’affirmation sans ambages d’une telle profession de foi. Seule La Droite Libre avait osé, dès l’origine, se définir ainsi. Nous sommes heureux de constater qu’enfin un candidat ose revendiquer l’identité de la droite, en même temps qu’il lui imprime un objectif.

C’est en rendant à l’UMP un vrai socle de valeurs sur lequel sera présenté un programme de gouvernement cohérent que l’alternance sera efficace et que la France se redressera. Pour conduire cette action, l’UMP a besoin du candidat des convictions. C’est Hervé Mariton.

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16 Nov2014

Le Clin d’oeil de Ligne Droite à l’actualité

Ecrit par 16 novembre 2014. Ligne Droite. Publié dans Actualité

L’actualité de la semaine en France a été dominée par « l’affaire » Fillon-Jouyet. Ce dernier avait déjà fait la une en étant nommé secrétaire d’État aux Affaires européennes lors de la piètre tentative d’ouverture à gauche de Nicolas Sarkozy.

Ami du chef de l'État depuis le service militaire et la promotion Voltaire de l'ENA, intime parmi les intimes, au point d'avoir joué avec son épouse, Brigitte Taittinger, un rôle clé dans l'exfiltration de Valérie Trierweiler de l'Elysée, Jean-Pierre Jouyet devait être l'homme des situations difficiles. Un avantage pour le président qui avait bien besoin d'avoir à ses cotés une personne en qui il pouvait avoir toute confiance. Patatras ! Il se révèle être un défaut supplémentaire dans la cuirasse déjà bien percée de François Hollande. Une situation aggravée par le fait que le troisième homme de ce fameux déjeuner, Antoine Gosset-Grainville, contredit sans détour les propos tenus par Jouyet.

Certains médias voient dans cette affaire un avantage pour Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen qui se gardent pourtant bien, pour l’instant, de pousser le bouchon trop loin. Mais la véritable victime est en réalité toute la classe politique. Car, quels qu’aient été les propos échangés lors de ce déjeuner chez Ledoyen, le simple fait qu’il ait eu lieu et que l’un des candidats déclarés de l’UMP pour succéder à François Hollande soit à tu et à toi avec le meilleur ami de ce dernier ne peut qu’alimenter le sentiment de rejet qui chemine et s’avance chez nos concitoyens. Un repas qui restera difficile à digérer pour ceux que la politique intéresse encore.

 

Laissant son Chef de cabinet se débattre avec ses mensonges et bien qu’il refusât de le limoger, Hollande a profité du G20 en Australie pour s’offrir sept jours aux antipodes. Une position qu’il affectionne et pas seulement sur le plan géographique. Toute sa politique est aux antipodes de ce qu’il faudrait faire pour remettre la France sur les rails.

C’est à Brisbane, sur la côte-est de l’Australie que les chefs d’Etat et de gouvernement des pays du G20 – y compris le Russe Vladimir Poutine – se sont retrouvés pour un sommet où la croissance, au ralenti depuis cinq ans, a tenu la large part escomptée. Le Premier Ministre australien a annoncé que les membres du G20 (dix-neuf pays développés et émergents ainsi que l’Union européenne, soit 90 % de l’économie mondiale) ont identifié plusieurs centaines de mesures pour accroître le produit intérieur brut (PIB) planétaire de 2,1 % sur les cinq prochaines années. Soit un surcroît de création de richesses de deux mille milliards de dollars. Affaire à suivre, particulièrement pour Christine Lagarde, patronne du FMI !

Mais l’intervention russe en Ukraine, qui ne fait pas partie du G20, a singulièrement alourdi l’atmosphère de ce G20, amenant Vladimir Poutine à sécher le déjeuner final et à repartir vers Moscou « en coup de vent », sans l’assurance que ses navires Mistral seraient livrés par la France.

 

Comme nous le soulignions la semaine dernière, l’action de la Russie en Ukraine ressemble de plus en plus au 12 mars 1938, quand les troupes de la Wehrmacht envahirent l’Autriche. La langue commune servit alors déjà de prétexte pour unifier les deux pays. L’Anschluss ne devait déjà susciter que des protestations d’ordre diplomatique de la part de la France et du Royaume-Uni. Certes, Poutine n’est pas Hitler, mais le rapprochement reste inquiétant.

 

Notre Président, lui, reste en Australie où il sera reçu en visite officielle par le Premier Australien Tony Abbott, l’homme qui, lors de la campagne pour les législatives de 2013, avait promis que plus aucun bateau transportant des clandestins n'arriverait sur les côtes australiennes. Les demandeurs d'asile sont désormais transférés dans des camps en Papouasie et un accord a été signé avec le Cambodge : les demandeurs d'asile qui rêvaient d'une vie meilleure en Australie pourront être redirigés vers ce pays, l'un des plus pauvres du monde, qui recevra en échange une rétribution.

Une idée à creuser pour notre Président.

 

Au Moyen-Orient, les forces irakiennes semblent reprendre du terrain, notamment la ville de Baiji où se trouve la plus grande raffinerie irakienne, une source importante de financement pour ISIS. Cela n’a pas empêché Abu Bakr al-Baghdadi d’annoncer que l’état islamique allait lancer sa propre monnaie : le Dinar Islamique, en émettant des pièces d’or, d’argent et de bronze. Quel que soit l’avenir du Califat, d’ores et déjà une aubaine pour les numismates !

 

Nouvel affront pour notre gouvernement, la direction du PS a annoncé la tenue du prochain congrès du parti début juin 2015. Si le nom de la ville qui accueillera les débats socialistes ne sera connu que dans quelques semaines – Avignon, Nantes et Metz sont régulièrement évoqués – le choix de ce calendrier est révélateur des batailles internes qui secouent le parti. Les responsables socialistes ont en effet décidé de ne pas suivre l'exécutif concernant la date du futur rassemblement. Alors que la politique économique du gouvernement est critiquée par une partie des cadres et des militants du parti, François Hollande et Manuel Valls auraient, pour des raisons évidentes, préféré un congrès organisé le plus tard possible en 2016.

 

La bonne nouvelle de la semaine nous vient de la Cour de justice de l'UE qui a statué mardi que les États membres de l'Union n'étaient pas tenus d'octroyer des prestations sociales à des citoyens d'autres pays européens ne se rendant sur leur territoire que dans le but de bénéficier de l'aide sociale. Reste quand même à élargir ce principe aux immigrés non européens qui se réclament du statut de réfugiés pour profiter de la manne sociale distribuée par notre pays.

 

 

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11 Nov2014

LES CONTRIBUABLES FRANÇAIS DEVRONT-ILS PAYER ENCORE LONGTEMPS POUR LA TURQUIE ?

Ecrit par 11 novembre 2014. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

Chronique de l’association des contribuables de l’intercommunalité d’Aubagne

Il n’y a pire sourd qui ne veut entendre. Les dirigeants français, de droite comme de gauche, persistent à avoir des yeux enamourés pour la Turquie alors qu’une majorité de Français refusent d’accueillir ce pays dans l’Europe.


Il y a peu nous écrivions : « nous persistons à ne pas comprendre, à ne pas admettre, comme 64 % des Français, ce qui nous pousse à sceller notre sort à ce pays.  La pré-adhésion de la Turquie a coûté 4,9 milliards d’euros pour la période de 2007 à 2013. La part contributive de la France est de 18,2 %, soit 892 millions d’euros ».


Le rejet de nos concitoyens est ancien et tenace, mais il s’oppose en vain à nos dirigeants. Pour ces derniers l’intégration de la Turquie à l’UE est chose acquise, définitive et les « incartades » actuelles de ce pays ne mettront pas en cause la doxa établie, d’autant que l’obligation d’un référendum pour toute nouvelle adhésion ne figure plus dans le traité de Lisbonne.


Dans son édition du 7 novembre 2014, Newsweek « publie le témoignage d’un jihadiste de l’Émirat islamique qui atteste d’un accord permettant aux combattants de l’ÉI de franchir la frontière. Il indique également que les commandants de l’ÉI parlent le turc et discutent en permanence par radio avec les autorités turques. Enfin, il souligne que l’armée turque aide l’ÉI à combattre les kurdes ».


Dans le Figaro du 10 novembre, comme dans de précédentes éditions, le reporteur Georges Malbruno ne dit pas autre chose sous le titre « l’hydre financière de Daech ». La Turquie est effectivement la plaque tournante du commerce de contrebande avec l’Etat Islamique.


Nous avons souhaité savoir si la question de la préadhésion de la Turquie à l’Union Européenne était aussi prégnante pour les députés qu’elle l’est pour les contribuables français, en raison de son coût et de son inutilité. Depuis l’été, et la création de l’Etat Islamique, une cinquantaine de questions écrites ont été posées aux ministres. Sauf erreur de notre part, aucune n’a trait à la poursuite ou non des négociations de préadhésion avec la Turquie. La plupart de ces questions associe les « évènements » actuels à des considérations relatives : « au sort des opposants kurdes, à Chypre, aux passages aux frontières, au numéro vert pour les familles », ceci pour les quatre dernières questions en ligne. La cinquième est la seule qui n’élude pas la question de la prolongation de l’aide française à la Turquie. Elle est posée par Madame Marion Maréchal-Le-Pen le 7 octobre 2014 QE 65803) et reproduite partiellement ci-dessous.


«…. Compte tenu de l'importance des prébendes de la rente pétrolière avec laquelle les terroristes achètent des armes et rémunèrent des milliers de jihadistes, elle demande si la France entend appeler la Turquie, partenaire industriel avec qui notre pays a établi une coopération contre les filières jihadistes, à fournir une clarification nécessaire pour ne pas engendrer des suspicions nuisibles aux relations entre nos deux États. Par ailleurs elle lui demande si le Gouvernement proposerait à l'Union européenne la clôture de toutes les négociations entamées avec la Turquie si cette dernière n'apporte pas les preuves suffisantes de l'authenticité de sa collaboration à l'alliance internationale contre le terrorisme islamiste ».


Que la Turquie soit un allié peu fiable est évidemment une question gênante. Mais pour nous, contribuables, il est surtout inadmissible que nos dirigeants persistent à arroser l’Anatolie pour en faire un jardin digne de nos régions, qu’ils aident à former une administration turque aussi éloignée de nos principes de laïcité… alors qu’il y a tant à faire chez nous.

 

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