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09 Fév2015

CHANTER FAUX QUAND ON ENTEND JUSTE

Ecrit par 9 février 2015. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

 

Marcel Achard disait : « je chante faux, mais j’entends juste ». N’est-ce pas là le drame des élus de la droite française ?

Pour commenter brièvement le résultat de l’élection législative de Roubaix :

La droite chante et ce, depuis de nombreuses années. Qu’elle soit au pouvoir, ou dans une prétendue opposition, la gauche et l’extrême gauche lui imposent son langage, ses orientations, son rythme et son calendrier. Ainsi, « ce dimanche soir, il (le socialiste élu) en est réduit à remercier les quelques personnalités de droite qui lui ont apporté leur soutien : Alain Juppé, NKM, Gérard Larcher, Dominique Bussereau, François Bayrou, Jean-Christophe Lagarde… »

Le chantage ne fonctionne pas toujours. De nouveau, les « élites » de droite ont été désavouées, comme elles l’avaient été au cours d’un référendum relatif à l’Europe. Ce n’était pas pour elles une surprise, puisque si elles chantent faux, elles entendent juste.

Peut-on voir le meilleur et faire le pire ? Tel était un sujet de philosophie posé en 2005. Nos élites ne sont pas stupides, leur entendement est capable de juger la meilleure action à entreprendre dans l’intérêt du pays et la vox populi, manque rarement d’indiquer le chemin.

« Valeurs, idéal, autant de mots pour se leurrer sur le bien-fondé de nos convictions ». Généreux, nous créditions toutefois nos élites de convictions et non de petits calculs électoraux.

Puisqu’elles « entendent juste », qu’elles entendent « seulement » la Vox Populi qui réclame la sécurité, la préservation de l’identité française, l’abandon de l’immigration. Qu’elles promettent, et réalisent, ce seul début de programme et il en sera fini de leurs états d’âme avant chaque élection… « leurs » états d’âme, pas ceux de leurs électeurs !

 

 

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08 Fév2015

Conférence sans presse par Ligne Droite

Ecrit par 8 février 2015. Ligne Droite. Publié dans Actualité

Non seulement la presse ne se presse pas pour participer aux interventions télévisées de François Hollande mais leur durée se raccourcit au fil des semaines. Il est certes toujours aussi volubile quand il s’agit de capitaliser sur « l’effet Charlie » et d’insister sur l’importance  de  l’union nationale face aux attaques terroristes dont la France est l’objet. Mais ses appels constants sur la nécessité de se rallier à son panache rose commencent à fatiguer une opinion qui réalise, d’une part, que les moyens de lutte annoncés ne sont pas suffisants en raison des gaspillages de l’argent public qui continuent et, d’autre part, qu’il évite soigneusement de parler des sujets vraiment importants pour la vie quotidienne des Français.

Sur l'emploi, le gouvernement est en échec. Le nombre de chômeurs inscrits en catégorie A à Pôle Emploi (sans aucune activité) a augmenté de 189.100 personnes en 2014. Au total, depuis l'élection de François Hollande, 602.000 personnes de plus ont été frappées par le chômage. Désormais, la France compte près de 3,5 millions de demandeurs d'emploi en catégorie A et même 5,2 millions, en y ajoutant les personnes exerçant des petits boulots. Prévue à 1%, la croissance sera insuffisante pour faire reculer le nombre de sans-emploi. En déclarant espérer la « décrue » du chômage cette année et avoir « confiance en la stabilisation », François Rebsamen, le ministre du Travail, s'est montré très optimiste. Le président l’est un peu moins en se contentant de constater une évidence : il ne pourra pas se représenter en 2017 si le chômage n’a pas baissé d’ici là.

 

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02 Fév2015

L’UMP égale à elle-même

Ecrit par 2 février 2015. Tarick Dali. Publié dans Actualité

Depuis l’élection de Nicolas Sarkozy à la tête de l’UMP, il n’a pas manqué d’articles de presse pour s’interroger sur sa stratégie. Force est aujourd’hui de constater que, non seulement, l’UMP n’a pas davantage fait son travail d’opposant depuis deux mois qu’au cours des deux années précédentes, mais qu’en outre, elle est tombée à pieds joints dans le piège de la prétendue unité nationale qui l’a fait défiler soi-disant pour la liberté d’expression derrière des grands démocrates comme les représentants de l’Arabie Séoudite ou du Qatar, ainsi que derrière des censeurs professionnels tels que le Mrap, SOS Racisme et autres.

Se déroulait hier une élection partielle où, par malchance, le candidat de l’UMP est éliminé du second tour. Et quelle est la position de l’UMP ? silence jusqu’à mardi soir avant de décider. Ce qui est stupéfiant est que lorsqu’on croit avoir atteint le fond des abysses, l’UMP continue à creuser.

Il n’était pourtant pas difficile de préparer une réponse au cas où ce cas de figure allait se produire. Il suffisait de l’ajuster en fonction des résultats réels.

Est-il si difficile à l’UMP de formuler la réponse suivante ?

« Moins de quatre électeurs sur dix se sont déplacés. Le Parti socialiste se sent tout requinqué alors qu’il a perdu plus de la moitié de ses électeurs par rapport à 2012 et a reculé de 12 points. En face, le Front national n’a perdu qu’un électeur sur huit et a donc progressé de 9 points. Quant à notre candidat, il a progressé de 3 points. En clair, les trois quarts des électeurs socialistes sont partis au Front national et l’UMP en a récupéré un quart. Les électeurs ont été assez grands au premier tour pour faire leur choix, qu’ils continuent au second ! l’UMP n’est pas concernée par ce second tour. Accessoirement, le maire d’Ajaccio que les socialistes avaient réussi à faire invalider les a laminés… et ça personne n’en parle ».

Et l’UMP d’exiger de parler plutôt des vrais sujets, comme par exemple, pourquoi Hollande est-il le premier à recevoir le Premier ministre grec qui vient se faire légitimer dans sa demande de plumer le contribuable français pour boucher le tonneau des Danaïdes que son pays ne cesse de creuser depuis près de 35 ans ?

En voilà une vraie question ! mais celle-là, l’UMP est incapable de la poser.

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30 Jan2015

« STOP-DJIHADISME », LA PLATE-FORME DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS.

Ecrit par 30 janvier 2015. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

Le gouvernement français vient de mettre en ligne une plateforme web intitulée « stop-djihadisme ». Le site propose plusieurs rubriques : comprendre, agir, décrypter, se mobiliser.

Cette décision fait suite à la déclaration de M. Vals du 23 décembre 2014, selon laquelle «Les jeunes Français doivent s'habituer à vivre durablement avec la menace d'attentats. Votre génération, votre classe d'âge, doit s'habituer à vivre avec ce danger pendant un certain nombre d'années».


Certains revivront donc l’atmosphère des années 1954-1962 en Algérie. Quelques-uns se rappelleront les « années de plomb » en Italie et en Allemagne. D’autres évoqueront ce que vivent les Israéliens, quotidiennement, depuis 50 ans : l’angoisse ordinaire.


Mais – enfin ! – le gouvernement a accepté de donner leur sens aux mots puisque le site propose de « comprendre », de « décrypter », pour enfin « agir ».


Finies (peut-être) les pudeurs pour éviter d’appeler un terroriste par son nom. Finies (peut-être) les jérémiades au sujet des difficultés sociales de ceux qui s’engagent dans ces tueries.


«Les faits (étant) têtus, il est plus facile de s'arranger avec les statistiques». Oui, ces terroristes ne représentent qu’une minorité de nos concitoyens ! Toutefois, comme le faisait observer une conférencière américaine répondant à une intervenante qui lui en faisait la remarque, un petit nombre a suffi à détruire les tours jumelles à New-York, à massacrer des millions de personnes sous Hitler, Staline, Pol Pot, même si la majorité des Allemands, des Soviétiques, des Cambodgiens ne le souhaitaient pas.

  
Le raisonnement s’impose alors, mais pas encore à nos gouvernants : à proportion identique, plus la population allogène augmente, plus le nombre de récalcitrants croît. La perspective de « vivre durablement avec la menace d'attentats » n’étant pas réjouissante, il est temps de mettre un terme à l’immigration afin de permettre à cette population de prendre des racines françaises. D’autres démocraties que la nôtre en tentent actuellement l’expérience. Une fois de plus, il ne faut pas avoir peur des mots. Une telle décision ne peut se prendre en catimini, elle doit être expliquée, et justifiée aussi par les innombrables raisons liées à l’état actuel de l’économie du pays d’accueil.


Allez M. Vals, détrompez Jaurès : vous ne serez pas de ceux qui « n'ayant pas la force d'agir, dissertent »

 

 

 

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