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Ambiance bon enfant, samedi après-midi sous un soleil printanier place Denfert-Rochereau au rassemblement organisé par Génération Identitaire. Plus d’un millier de militants et sympathisants, calmes, sereins et détendus sont venus rappeler au gouvernement et au ministre de l’Intérieur que la liberté de pensée et d’expression sont toujours les vertus cardinales d’une démocratie ; ce qui, selon des avis de tout l’échiquier politique, n’est plus vraiment le cas de la France.
La Droite Libre invite donc tous les Français attachés à leurs libertés et à leur identité et qui pourraient se trouver à Paris, à se joindre à la Manifestation pour la Liberté organisée à Paris samedi prochain, 20 février à 14 h. Tous les renseignements pour y participer sont disponibles sur le site de l’association : https://generationidentitaire.org/contre-la-dissolution-venez-soutenir-generation-identitaire-ce-samedi-a-paris/
Le communiqué de presse intégral diffusé ce mercredi matin 17 février :
Tout à son arrivisme forcené et fort de son inculture crasse dont peuvent témoigner tous ceux qui ont eu à subir l’orthographe hésitante de ses courriels, le ministre de l’Intérieur qui s’était déjà distingué dans ses précédentes fonctions en s’affichant comme un impitoyable inquisiteur fiscal dans le pays au monde qui en a le moins besoin, a donc décidé la dissolution de Génération identitaire.
Sur quelle base légale s’appuie ce diktat ?
Moins les politiciens se montrent capables de résoudre les problèmes, plus ils se réfugient dans la mise en scène, confondant les deux sens du mot acteur et considérant les citoyens comme des spectateurs. Le service dit public de télévision s’est prêté docilement à cette évolution en offrant un duel entre la présidente du Rassemblement national et le ministre de l’Intérieur. Il s’est agi en fait d’un duo, où chacun pensait à son image plus qu’à la solution à apporter au problème central de l’émission : le séparatisme. Mme Le Pen voulait se crédibiliser en se montrant responsable et même consensuelle allant jusqu’à dire qu’elle aurait pu signer le livre du ministre.