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mauvaisemain
21 Avr2017

François Fillon doit être au 2e tour !

Ecrit par 21 avril 2017. Christian Vanneste, Président de La Droite Libre. Publié dans Actualité

    Dimanche soir, les résultats du premier tour des élections présidentielles répondront en même temps à deux questions : les Français sont-ils devenus un peuple que l’on peut berner ? Les Français ont-ils encore l’intelligence et le courage qui permettent à une nation d’affronter les difficultés du monde et de l’époque ou préfèrent-ils disparaître ? Un risque existe d’une absence de François Fillon au second tour aggravé par un duel Macron-Le Pen dont le résultat en faveur du premier ne fait aucun doute. Ainsi les Français qui ont rejeté la constitution européenne en 2005, qui sont majoritairement angoissés par une mondialisation qui génère du chômage et par une immigration qui menace leur identité nationale, pourraient choisir pour « Chef d’Etat » un personnage qui incarne, à travers ses parrains Attali et Minc, le mondialisme échevelé, veut faciliter le courant migratoire de l’Afrique vers la France, et ne remet nullement en cause la dérive européenne. Ils pourraient désigner pour les représenter un homme qui nie l’existence d’une culture française et va s’excuser en Algérie de crimes contre l’humanité que la France n’a pas commis sauf dans l’esprit de ceux qui haïssent notre pays. Ils pourraient en outre maintenir au pouvoir, par distraction sans doute, ceux qui durant cinq ans ont battu tous les records d’impopularité parce qu’ils conduisaient la France au désastre.

    Si cette catastrophe se produisait, elle serait le résultat d’une sorte d’hallucination collective produite par une manipulation telle que le pays n’en avait jamais connue. Une opération associant l’Elysée, des médias et des magistrats a visé, à un moment qui ne fait aucun doute sur les intentions, un candidat : François Fillon. La mise en examen était l’objectif puisqu’il en avait fait une condition de sa candidature. Pourquoi lui alors que les faits incriminés sont répandus et appartiennent à une pratique

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carrure
19 Avr2017

Macron n’a pas la carrure, Fillon, oui !

Ecrit par 19 avril 2017. Christian Vanneste, Président de La Droite Libre. Publié dans Actualité

« L’ambition dont on a pas les talents est un crime » a écrit Chateaubriand. La politique est de plus en plus encombrée par ce type de criminels. Comme ils sont élus par le peuple, c’est à celui-ci de mesurer l’épaisseur ou la carrure de ceux qu’il choisit pour qu’ils le dirigent face aux difficultés de l’époque. Celles-ci sont de deux ordres : les premières sont internes et naissent le plus souvent des intérêts divergents que suscitent les appartenances à des groupes sociaux, économiques, idéologiques, les secondes sont inséparables du choc des nations. Les premières demandent de l’expérience et de la souplesse, non sans une certaine fermeté dans la poursuite des objectifs destinés à servir le bien commun. C’est l’image de la main de fer dans un gant de velours. Le redressement économique et financier de la France exigera ces qualités. La réduction des déficits, la diminution de la dette, l’allègement du poids de la sphère publique sont des impératifs qui ne pourront être respectés qu’à la condition d’éviter le blocage de la société en raison des privilèges que leurs détenteurs estimeront lésés. Dans cette passe ardue, le choix

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murdescons
16 Mar2017

La justice a-t-elle volé leur élection présidentielle aux Français ? (Débat Bilger-Goldnadel 28/3 à 20h chez JENNY)

Ecrit par 16 mars 2017. Christian Vanneste, Président de La Droite Libre. Publié dans Actualité

    Au voleur ! On a volé… la démocratie. Il suffit d’écouter une émission du prétendu « service public », en l’occurrence « Mardi politique » pour s’en convaincre. Hier, une journaliste, qui a peut-être manqué une carrière de commissaire politique, recevait Marine Le Pen. Le sujet devait être l’élection présidentielle. Non, la situation de la France, son déclin, les problèmes et les solutions, les programmes des candidats ne l’intéressent pas prioritairement. Seules les « affaires » paraissent d’abord la préoccuper. Roselyne Febvre entame donc l’interrogatoire de la candidate en la questionnant sur la mise en examen de François Fillon. Les affaires prendront 15 minutes sur les 40 de l’émission. Elles permettront d’évoquer avec un mépris mal

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Henrillon4
01 Mar2017

Résister avec Fillon !

Ecrit par 1 mars 2017. Christian Vanneste, Président de La Droite Libre. Publié dans Actualité

François Fillon a lancé un appel à la résistance. C’est le mot qui convient ! Il a ajouté que ce n’était pas lui qui était en cause, mais la démocratie, c’est-à-dire le pouvoir légitime du Peuple face aux réseaux, aux coteries, aux connivences qui prétendent l’en priver à leur profit. François Fillon propose un programme énergique de redressement national. Le trio du déclin est à l’oeuvre pour l’empêcher de le mettre en oeuvre, non pas en en discutant point par point les mesures, mais en assassinant le candidat, en le poussant à ne pas se présenter. C’est manqué, et cela révèle d’ailleurs un candidat dont le courage et la fermeté sont des atouts pour un futur Président de la République. Ce trio, tout le monde le connaît. Il se compose de l’entourage du lamentable chef d’Etat actuel, de son secrétariat général, plus habile à monter des coups qu’à servir l’intérêt supérieur du pays. Il comprend un certain nombre de magistrats politisés, nommés par l’actuel pouvoir et qui attendent de son maintien à travers d’autres personnes le couronnement de leurs ambitions de carrière. L’étonnante rapidité des procédures en dehors de tout élément irréfutable et la volonté manifeste de perturber le calendrier électoral de la part de ces fonctionnaires dénués de la moindre légitimité populaire sont des atteintes violentes à la démocratie. On aimerait que la justice fonctionne plus vite et avec plus de fermeté face à la délinquance et au crime que pour obéir aux commandes politiques du pouvoir. Enfin, il y a les médias, ce choeur hypocrite qui a préféré à la campagne en vue de l’élection du Chef de l’Etat, à partir de l’analyse et de la comparaison des programmes, la démolition systématique du candidat Fillon et l’appui stipendié à Macron.

Il y a bien longtemps déjà que l’autorité judiciaire est en question dans notre pays. Elle n’y est pas le troisième pouvoir. Ses fonctionnaires ne sont pas élus. Son indépendance est une plaisanterie. Le Parquet est aux ordres et le juges peuvent être incompétents malgré des pouvoirs exorbitants. Ils peuvent être soucieux de leurs promotions ou mus par leurs penchants idéologiques. Leur seule excuse est, c’est vrai, le scandaleux manque de moyens de la justice française. François Fillon est harcelé depuis de longues semaines par un Parquet National Financier qui a systématiquement trahi la loi en transmettant de prétendues informations à des journalistes proches du pouvoir, ceux-là mêmes que le « président » abreuvait de confidences déplacées et inopportunes. Chacun se souvient du désastre judiciaire d’Outreau, le plus connu, mais nullement le seul. Eric Zemmour parlait du »Coup d’Etat des Juges », un titre qui prend tout son sens aujourd’hui.  » Les juges ont réinventé le pouvoir absolu, irréprochable et irresponsable ».  Ils prétendent ainsi décider de qui peut ou non avoir le droit de se présenter à l’élection présidentielle. Il faut clairement les remettre à leur place. Marine Le Pen ne répondra pas à leur convocation , et elle a raison. François Fillon respectera les formes et s’y rendra, mais n’en tiendra aucun compte et il a raison plus encore. En 2012, après un échec électoral que j’estimais injuste, j’avais moi aussi subi l’acharnement du Parquet sur des propos qui pourtant avaient été confirmés par Serge Klarsfeld. Le procureur a été débouté, mais a fait appel, et à nouveau échoué. Que de temps  et de moyens perdus pour satisfaire une justice réduite à la vengeance politique ! Cette expérience me rend particulièrement solidaire de François Fillon. C’est le Peuple qui doit décider, et non les fonctionnaires de justice.

Enfin, il y a le vrai pouvoir, celui du microcosme, de ce petit nombre de personnes qui créent l’atmosphère politique du pays, de ces gens qui contrôlent nombre de médias parce qu’ils en sont propriétaires, ou parce qu’ils monopolisent la parole sur les chaînes du prétendu service public. Que Minc, Attali, Bergé, Drahi, Cohn-Bendit et d’autres se retrouvent à soutenir le même candidat devrait faire réfléchir. C’est l’alliance du mondialisme et de la décadence. C’est le syndicat de faillite de la France. Il faut avoir lorsqu’on écoute leurs voix la même distance critique que celle qu’on pouvait avoir en écoutant Radio-Paris à une certaine époque. C’est la voix du renoncement ! La lourde insistance de leurs commentaires est un signe qui ne trompe pas. Les mots répétitifs destinés à altérer la candidature de François Fillon masquent mal l’absence de véritable argument. J’étais à une époque « sulfureux ». Pour quelqu’un qui n’a jamais été condamné, n’est-ce pas étrange ? De même, Fillon est « empêtré », « dans ses bobards » ( Libération) « dans ses commentaires » ( Le Monde), « dans une affaire d’emplois fictifs » ( Europe 1), « une affaire qui tire notre famille politique vers le bas » conclut BFM qui a trouvé avec un ravissement un sénateur républicain demandant à mi-voix au candidat de se retirer.  Fillon est « rattrapé », comme on rattrape un voleur « par la polémique » (France Info), « par le système » ( Europe n°1). Empêtré et rattrapé ! Si on ajoute qu’il est « mal barré », que sa campagne connaît des « flottements », du « cafouillage », et qu’il faut un plan B, on voit que le langage du dénigrement systématique est mobilisé pour faire fuir l’électeur et décourager le militant. C’est cet excès même qui doit aujourd’hui soulever la résistance salutaire. Il en va de notre capacité à tous de résister à la manipulation et de faire gagner la démocratie !

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    […] Oskar Freysinger, personnalité politique suisse, membre de l’Union démocratique du centre, fondateur de l’UDC Valais, ancien député du canton du Valais au Conseil national, ancien conseiller d’État valaisan • Christian Vanneste, homme politique, essayiste français, ancien membre du RPR puis de l’UMP, ancien député de la dixième circonscription du Nord, ancien président du RPF, président du think tank la Droite libre […]

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