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08 Fév2015

Conférence sans presse par Ligne Droite

Ecrit par 8 février 2015. Ligne Droite. Publié dans Actualité

Non seulement la presse ne se presse pas pour participer aux interventions télévisées de François Hollande mais leur durée se raccourcit au fil des semaines. Il est certes toujours aussi volubile quand il s’agit de capitaliser sur « l’effet Charlie » et d’insister sur l’importance  de  l’union nationale face aux attaques terroristes dont la France est l’objet. Mais ses appels constants sur la nécessité de se rallier à son panache rose commencent à fatiguer une opinion qui réalise, d’une part, que les moyens de lutte annoncés ne sont pas suffisants en raison des gaspillages de l’argent public qui continuent et, d’autre part, qu’il évite soigneusement de parler des sujets vraiment importants pour la vie quotidienne des Français.

Sur l'emploi, le gouvernement est en échec. Le nombre de chômeurs inscrits en catégorie A à Pôle Emploi (sans aucune activité) a augmenté de 189.100 personnes en 2014. Au total, depuis l'élection de François Hollande, 602.000 personnes de plus ont été frappées par le chômage. Désormais, la France compte près de 3,5 millions de demandeurs d'emploi en catégorie A et même 5,2 millions, en y ajoutant les personnes exerçant des petits boulots. Prévue à 1%, la croissance sera insuffisante pour faire reculer le nombre de sans-emploi. En déclarant espérer la « décrue » du chômage cette année et avoir « confiance en la stabilisation », François Rebsamen, le ministre du Travail, s'est montré très optimiste. Le président l’est un peu moins en se contentant de constater une évidence : il ne pourra pas se représenter en 2017 si le chômage n’a pas baissé d’ici là.

 

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14 Déc2014

Pacte d’irresponsabilité par Roger Roche – Ligne Droite

Ecrit par 14 décembre 2014. Ligne Droite. Publié dans Actualité

La route tracée par le gouvernement a beau être pavée d’un certain nombre de bonnes intentions, elle reste, pour les entreprises, un chemin montant, sablonneux, malaisé et de tous les côtés exposé. Le chef d’entreprise n’aperçoit pas le haut de la côte. Les plus optimistes d’entre eux ne voient rien de plus urgent que de faire le dos rond et d’attendre que les mesures promises soient effectives pour en tirer des conclusions. Les autres, les plus nombreux, ont tout simplement peur. L’économie et la psychologie ne font pas bon ménage et il faut une bonne dose de confiance pour croire aux promesses de Matignon.                                             Comme la mouche du coche de La Fontaine, nos dirigeants virevoltent et piquent ceux qui tirent l’attelage de notre pays en ne songeant qu’à profiter politiquement d’une réussite éventuelle tout en se réservant le droit de rejeter sur les patrons la responsabilité d’un probable échec.

En bons politiciens, ils pensent qu’il suffit de promettre pour accomplir. De faire de grands discours pour convaincre. De demander aux autres de prendre des risques alors qu’ils restent bien à l’abri de leur ministère, assurés que, s’ils devaient être démis, on leur trouverait toujours un point de chute honorable et rémunérateur. Il leur est impossible de comprendre l’angoisse d’une PME qui voit son carnet de commandes baisser alors qu’elle a déjà du mal à fournir du travail à ses employés. Impossible également pour eux d’appréhender l’inquiétude du patron qui ne sait pas si les commandes déjà livrées seront effectivement payées à l’échéance, alors que les charges, taxes et impôts réclamés par le fisc devront être réglés sans délai et que les banques sont de plus en plus réticentes à lui prêter de l’argent.

Pour illustrer ce décalage entre les promesses gouvernementales et leur effet éventuel sur le terrain, regardons les six annonces faites par Manuel Valls en avril 2014 :

1. Charges patronales à l’URSSAF supprimées pour salariés payés au Smic… à partir de 2015.

2. Réduction de 1,8 point des cotisations familiales sur les salaires inférieurs à 3,5 fois le Smic… à partir de 2016.

3. Baisse des charges pour les artisans et travailleurs indépendants… à partir de 2015.

4. Suppression de la C3S, contribution sociale de solidarité que payent les entreprises ayant un chiffre d’affaires annuel excédent 760000 euros… à partir de 2015.

5. Baisse de l’Impôt sur les sociétés à partir de 2020 avec une étape intermédiaire… en 2017.

6. Suppression des « petites taxes » qui rapportent peu mais compliquent la vie des entreprises, avec un calendrier non défini.

En résumé, à ce jour, aucune réduction de charges n’a encore bénéficié aux entreprises alors que Manuel Valls s’est récemment permis de dénoncer l’attentisme des patrons, en exprimant son impatience à l'égard d'un patronat selon lui trop peu mobilisé pour la mise en œuvre du pacte de responsabilité et en affirmant que rien ne pouvait justifier son attentisme. Une telle attaque, combinée à la réticence d’une grande partie des députés socialistes envers ce qu’ils considèrent comme « cadeaux aux patrons » ne peut que renforcer la profonde méfiance de ces derniers envers les belles promesses du pacte.

Reste la question du CICE (crédit d’impôt compétitivité et emploi) qui devait être transformé en baisse de charges pure et simple. François Hollande a remis cette action… à 2020.

Emmanuel Macron, notre nouveau ministre de l’Économie, se devait d’avoir une loi à son nom. Ce sera la loi « croissance et activité » qui s’attaque à la concurrence du ferroviaire, assouplit les condition du travail dominical et dérégule les professions de notaires ou d’avocats. Quels que soient les mérites de ces textes, ils n’auront aucun effet sur la très grande majorité des petites et grandes entreprises. Par contre, ils suscitent la fronde des élus socialistes, ce qui va bien évidemment semer le doute dans l’esprit de patrons qui guettent avec angoisse la moindre reculade de la part d’un gouvernement sous pression sur les sujets qui les intéressent.

Quant à la simplification administrative tant attendue, elle suit son petit bonhomme de chemin. Une vingtaine de mesure de simplification pour les entreprises sont à l’étude. Mais rien de concret à court et moyen terme. A contrario, on note la mise en place dès 2015 de la prise en compte de la pénibilité pour le calcul des retraites. Une usine à gaz impossible à gérer pour les PME car cette pénibilité doit être déterminée sur des critères très précis, 10 au total dont le travail de nuit, le port de charges lourdes, le bruit… Chaque trimestre de travail pénible donne droit à des points. La tâche la plus pénible sera finalement celle du patron qui devra tenir la comptabilité du temps générateur de points face à des salariés pas forcément d’accord.

Georgina Dufoix, ancienne ministre des Affaires sociales, accusée d'avoir freiné, pour des raisons financières, la mise en place du dépistage systématique du virus du sida lors des transfusions sanguines se déclarait en 1985 « responsable mais pas coupable ».

Rien à voir, penserez-vous ? Il est vrai que le sida était à l’époque un tueur redoutable. Et pourtant, interrogé le mois dernier, le numéro 2 du Medef Geoffroy Roux de Bézieux a avancé le chiffre d’un suicide tous les deux jours chez les chefs d’entreprises.

Coupables d’avoir pris des risques, responsables envers leur famille.

 

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16 Nov2014

Le Clin d’oeil de Ligne Droite à l’actualité

Ecrit par 16 novembre 2014. Ligne Droite. Publié dans Actualité

L’actualité de la semaine en France a été dominée par « l’affaire » Fillon-Jouyet. Ce dernier avait déjà fait la une en étant nommé secrétaire d’État aux Affaires européennes lors de la piètre tentative d’ouverture à gauche de Nicolas Sarkozy.

Ami du chef de l'État depuis le service militaire et la promotion Voltaire de l'ENA, intime parmi les intimes, au point d'avoir joué avec son épouse, Brigitte Taittinger, un rôle clé dans l'exfiltration de Valérie Trierweiler de l'Elysée, Jean-Pierre Jouyet devait être l'homme des situations difficiles. Un avantage pour le président qui avait bien besoin d'avoir à ses cotés une personne en qui il pouvait avoir toute confiance. Patatras ! Il se révèle être un défaut supplémentaire dans la cuirasse déjà bien percée de François Hollande. Une situation aggravée par le fait que le troisième homme de ce fameux déjeuner, Antoine Gosset-Grainville, contredit sans détour les propos tenus par Jouyet.

Certains médias voient dans cette affaire un avantage pour Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen qui se gardent pourtant bien, pour l’instant, de pousser le bouchon trop loin. Mais la véritable victime est en réalité toute la classe politique. Car, quels qu’aient été les propos échangés lors de ce déjeuner chez Ledoyen, le simple fait qu’il ait eu lieu et que l’un des candidats déclarés de l’UMP pour succéder à François Hollande soit à tu et à toi avec le meilleur ami de ce dernier ne peut qu’alimenter le sentiment de rejet qui chemine et s’avance chez nos concitoyens. Un repas qui restera difficile à digérer pour ceux que la politique intéresse encore.

 

Laissant son Chef de cabinet se débattre avec ses mensonges et bien qu’il refusât de le limoger, Hollande a profité du G20 en Australie pour s’offrir sept jours aux antipodes. Une position qu’il affectionne et pas seulement sur le plan géographique. Toute sa politique est aux antipodes de ce qu’il faudrait faire pour remettre la France sur les rails.

C’est à Brisbane, sur la côte-est de l’Australie que les chefs d’Etat et de gouvernement des pays du G20 – y compris le Russe Vladimir Poutine – se sont retrouvés pour un sommet où la croissance, au ralenti depuis cinq ans, a tenu la large part escomptée. Le Premier Ministre australien a annoncé que les membres du G20 (dix-neuf pays développés et émergents ainsi que l’Union européenne, soit 90 % de l’économie mondiale) ont identifié plusieurs centaines de mesures pour accroître le produit intérieur brut (PIB) planétaire de 2,1 % sur les cinq prochaines années. Soit un surcroît de création de richesses de deux mille milliards de dollars. Affaire à suivre, particulièrement pour Christine Lagarde, patronne du FMI !

Mais l’intervention russe en Ukraine, qui ne fait pas partie du G20, a singulièrement alourdi l’atmosphère de ce G20, amenant Vladimir Poutine à sécher le déjeuner final et à repartir vers Moscou « en coup de vent », sans l’assurance que ses navires Mistral seraient livrés par la France.

 

Comme nous le soulignions la semaine dernière, l’action de la Russie en Ukraine ressemble de plus en plus au 12 mars 1938, quand les troupes de la Wehrmacht envahirent l’Autriche. La langue commune servit alors déjà de prétexte pour unifier les deux pays. L’Anschluss ne devait déjà susciter que des protestations d’ordre diplomatique de la part de la France et du Royaume-Uni. Certes, Poutine n’est pas Hitler, mais le rapprochement reste inquiétant.

 

Notre Président, lui, reste en Australie où il sera reçu en visite officielle par le Premier Australien Tony Abbott, l’homme qui, lors de la campagne pour les législatives de 2013, avait promis que plus aucun bateau transportant des clandestins n'arriverait sur les côtes australiennes. Les demandeurs d'asile sont désormais transférés dans des camps en Papouasie et un accord a été signé avec le Cambodge : les demandeurs d'asile qui rêvaient d'une vie meilleure en Australie pourront être redirigés vers ce pays, l'un des plus pauvres du monde, qui recevra en échange une rétribution.

Une idée à creuser pour notre Président.

 

Au Moyen-Orient, les forces irakiennes semblent reprendre du terrain, notamment la ville de Baiji où se trouve la plus grande raffinerie irakienne, une source importante de financement pour ISIS. Cela n’a pas empêché Abu Bakr al-Baghdadi d’annoncer que l’état islamique allait lancer sa propre monnaie : le Dinar Islamique, en émettant des pièces d’or, d’argent et de bronze. Quel que soit l’avenir du Califat, d’ores et déjà une aubaine pour les numismates !

 

Nouvel affront pour notre gouvernement, la direction du PS a annoncé la tenue du prochain congrès du parti début juin 2015. Si le nom de la ville qui accueillera les débats socialistes ne sera connu que dans quelques semaines – Avignon, Nantes et Metz sont régulièrement évoqués – le choix de ce calendrier est révélateur des batailles internes qui secouent le parti. Les responsables socialistes ont en effet décidé de ne pas suivre l'exécutif concernant la date du futur rassemblement. Alors que la politique économique du gouvernement est critiquée par une partie des cadres et des militants du parti, François Hollande et Manuel Valls auraient, pour des raisons évidentes, préféré un congrès organisé le plus tard possible en 2016.

 

La bonne nouvelle de la semaine nous vient de la Cour de justice de l'UE qui a statué mardi que les États membres de l'Union n'étaient pas tenus d'octroyer des prestations sociales à des citoyens d'autres pays européens ne se rendant sur leur territoire que dans le but de bénéficier de l'aide sociale. Reste quand même à élargir ce principe aux immigrés non européens qui se réclament du statut de réfugiés pour profiter de la manne sociale distribuée par notre pays.

 

 

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03 Nov2014

Le Clin d’oeil de Ligne Droite à l’actualité de la semaine

Ecrit par 3 novembre 2014. Ligne Droite. Publié dans Actualité

Pressé par Bruxelles de respecter les engagements de la France en matière budgétaire, le gouvernement a trouvé 3,6 milliards d’euros sous les tapis de Bercy pour ramener notre déficit 2015 à 4,1% du PIB, toujours loin des 3% espérés. Pas d’économies supplémentaires mais le résultat d’un crayon taillé plus finement pour recalculer certaines rentrées fiscales et les intérêts de la dette publique. Il est probable que la Commission européenne va faire semblant de croire à ces prévisions, pourtant peu fiables si l’on considère la constance avec laquelle la France de François Hollande a raté tous ses objectifs et renié toutes ses promesses depuis 2012. Notons en passant l’augmentation des rentrées fiscales, ainsi que la réduction des dotations aux régions et départements également prévue, qui va sans doute entraîner une hausse des impôts locaux, à l’encontre des promesses de gel de la fiscalité cent fois répétées par l’exécutif.

Si la lettre envoyée à Bruxelles pour annoncer les « efforts » supplémentaires promis par la France va peut-être rassurer la Commission, ce ne sera sans doute pas suffisant pour les agences de notation et encore moins pour d’autres pays de l’UE qui voient d’un très mauvais œil l’indulgence accordée à la France alors que, de leur coté, ils ont dû faire d’énormes efforts. Cette lettre ne sera sans doute qu’un torchon de papier pour certains comme la Grèce ou le Portugal.

 

A propos de torchon, il brûle entre François Hollande et son Premier Ministre. Les piques du premier à ce dernier lors de la cérémonie de l’élévation à la dignité de Grand Croix dans l’ordre du Mérite de Manuel Valls ont suscité de nombreux commentaires. Soucieux de ne pas verser de l’huile sur le feu, le chef du gouvernement a expliqué, dans le quotidien néerlandais NRB Handelsblad, que le président sortant a « une vocation naturelle à être candidat » à la prochaine présidentielle. Ajoutant :

« C'est ma tâche de l'aider afin que la France en 2017 soit dans un meilleur état qu'en 2012  ».

Une déclaration sans grande conséquence, personne ne voyant actuellement la moindre chance à François Hollande de faire un second mandat, y compris chez les Socialistes. Mais Manuel Valls a compris que son sort est, dans une grande mesure, lié à celui de son patron.

 

Bien entendu, cette guerre fratricide entre nos deux chefs de l’exécutif n’est pas comparable à celle dans laquelle le Moyen-Orient s’enfonce semaine après semaine. Chaque succès proclamé par l’État Islamiste est immédiatement suivi de l’annonce de succès occidentaux. Les frappes aériennes sont a priori efficaces mais les combats aux sols reprennent immédiatement après. Les renforts kurdes ont permis une certaine stabilisation, mais la frontière entre la Turquie et les zones de conflits reste soumise à la volonté d’un Erdogan toujours réticent : « pourquoi les Occidentaux s’intéressent-ils tant à Kobané ? » C’est la question qu’il a posée vendredi, lors d’une rencontre organisée à Paris par l’Institut français des relations internationales (IFRI). « Actuellement, on ne parle que de Kobané, assailli par Daech », s’est plaint Erdogan, qui refuse d’utiliser le terme Etat islamique. « Il y a très peu de civils à Kobané. Kobané ne représente qu’une partie minime du drame dans la région. Y a-t-il de l’or, des diamants. Pourquoi Kobané ? ». Avec un tel « allié », les Occidentaux sont très mal partis . Bien sûr, Obama n’est pas George Bush et il y a peu de chances que les américains interviennent avec des troupes au sol. Nous en saurons plus après les élections de mid-term de mardi prochain qui vont voir remis en jeu la totalité des 435 sièges de la chambre basse, un tiers du Sénat et 38 Gouverneurs d’État. Le Président américain, déjà peu solide , pourrait en sortir encore affaibli. Une situation qui peut nous sembler paradoxale au vu des bons résultats économiques américains mais qui s’explique dans un pays essentiellement libéral où le Chef de l’État est tenu responsable lorsque l’économie va mal mais ne retire que peu de crédit lorsque les affaires vont mieux.

 

Une situation politique aux antipodes de celle de Vladimir Poutine qui défie l’Occident en soutenant le scrutin organisé dans l’est de l’Ukraine par les pro-russes, deux semaines seulement après les élections législatives organisées par Kiev et qui ont vu une victoire des pro-occidentaux, victoire entachée par l’absence de bureaux de vote dans l’est.

 

Le Burkina-Faso est entré en révolution. Comme dans beaucoup de pays africains, la démocratie telle que nous la concevons n’y est pas de mise. La limite entre un Président élu et un autocrate reste ténue. Blaise Compaoré ayant tenté de faire modifier la constitution afin de prolonger son mandat au-delà des 27 ans déjà accomplis s’est vu désavoué par son peuple. L’armée a pris le pouvoir et le lieutenant-colonel Isaac Yacouba Zida a été nommé à la tête de l’État pour une période de transition. La France a appelé à « la tenue rapide d’élections démocratiques ». Il est vrai que toute instabilité dans ce pays, qui possède une frontière de mille kilomètres avec le Mali, a de quoi nous inquiéter.

 

La semaine en France a été marquée par le déchaînement des médias provoqué par le décès d’un jeune manifestant contre le projet de barrage de Sivens, suite à une grenade lancée par les forces de l’ordre. Bien sûr ces manifestations finissent le plus souvent par être investies par des voyous venus « casser du flic ». Mais il reste que nos écologistes leur en offrent trop souvent l’occasion et que notre gouvernement actuel ne sait pas comment régler ces différents par la négociation.

Il sera désormais interdit aux gendarmes d’utiliser ces grenades contre les manifestants.

 

Par contre, nos centrales nucléaires étant régulièrement survolées par des drones, la bonne nouvelle de la semaine a été d’autoriser les gendarmes à abattre ces appareils. Mais ces drones étant contrôlés par radiocommande, on peut regretter qu’il ne soit pas possible de brouiller les signaux.

 

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