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02 Nov2015

L’actualité vue par Ligne Droite

Ecrit par 2 novembre 2015. Ligne Droite. Publié dans Actualité

François Hollande a regagné beaucoup du poids qu’il avait perdu en 2011 afin de présenter aux Français une silhouette plus conforme au dynamisme que l’on attend d’un chef d’État. Il a depuis mis les bouchées doubles, au sens propre comme au sens figuré. Depuis plusieurs semaines, il entend s’immiscer dans tous les dossiers – même et surtout les plus futiles – afin de se montrer à la télévision.

Inondations dans les Alpes-Maritimes, hommage républicain aux victimes de l’accident de Puisseguin et même « condoléances de la France » adressées lors d’une visite au Mont Saint Michel à Vladimir Poutine – qu’il boycotte par ailleurs – pour l’avion charter russe qui s’est écrasé en Égypte.

On en vient à se demander s’il ne souhaite pas que des catastrophes se produisent afin de lui donner l’occasion de se montrer. Ajoutons un entretien avec les fondateurs du site de vente en ligne Showroomprive.com, une rencontre avec le cofondateur d’Instagram ou un rendez-vous avec le député de l’Ardèche, Pascal Terrasse, en charge d’une mission sur l’économie collaborative pourtant lancée par… Manuel Valls; le chef de l’État ne laisse rien passer, il est partout. Et il n’hésite pas à délocaliser un comité interministériel aux ruralités en Haute-Saône pour annoncer des mesures sur l’égalité des territoires ou encore venir à La Courneuve, en Seine-Saint-Denis, pour lancer l’Agence nationale pour le développement économique. C’est encore lui qui reçoit à l’Elysée – en présence de Christiane Taubira – les représentants des magistrats et du personnel pénitentiaire. C’était déjà lui qui s’était occupé de rencontrer les syndicats de police et de gendarmerie, une semaine après la manifestation qui avait réuni des milliers de policiers à Paris.

Plusieurs explications à cette hyperactivité peu habituelle de sa part : l’approche des élections régionales qui s’annoncent catastrophiques pour la gauche, la défection de ses soutiens verts et rouges, mais aussi la crainte de voir son Premier Ministre, champion de la communication, s’imposer comme candidat socialiste à la Présidence de la République en 2017.

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02 Nov2015

Incompétence

Ecrit par 2 novembre 2015. Ligne Droite. Publié dans Actualité

Incompétence, par Anne Merlin de Ligne Droite

La grande malchance de l’Occident, celle qui risque de le faire passer tout entier – et sans doute pour des siècles – sous le joug cruel de l’islam dans sa forme la plus archaïque par la pensée et la plus moderne par les moyens utilisés, c’est l’incompétence de ses dirigeants.

A tout seigneur tout honneur? Les USA : Obama avant son élection n’avait jamais géré la plus petite commune ni dirigé la plus petite entreprise et il n’a pas su pallier son inexpérience par un choix judicieux de conseillers. Mais beaucoup de ses concitoyens se demandent si, au lieu d’être un Musulman converti au Christianisme des Protestants Baptistes, il ne serait pas un Musulman de cœur, pratiquant la taqiya[1]. Il a fait passer sa haine de la Russie (orthodoxe et qui revient de plus en plus à la vie chrétienne, ce qui est peut-être – s’il est Musulman de cœur – la raison de sa haine) avant les intérêts du pays qu’il représente et dirige ; il a refusé d’admettre que l’islamisme extrême, tel qu’il est pratiqué par « l’État islamique », Boko Haram et autres Al Qaïda, était l’ennemi principal des États-Unis et de l’Occident ; bien qu’il soit avéré qu’il est impossible de venir à bout des milices de « l’État islamique » et autres Musulmans fanatiques simplement par des attaques aériennes, il a exclu toute participation américaine à des combats au sol et s’est contenté de lancer des attaques aériennes qui, bizarrement, ont fait autant de victimes civiles que de soldats de « l’État islamique », jetant les populations dans les bras de celui-ci ; et il a pris grand soin d’annoncer des mois à l’avance les mesures militaires qu’il allait prendre, sans doute pour laisser à l’ennemi le temps de s’y préparer.

L’Allemagne passait, jusqu’à ces dernières semaines, pour être le seul État important de l’Union européenne à avoir une dirigeante compétente : le succès économique de Mme Merkel garantissait sa compétence. Mais il y a peu elle a lancé une proposition d’accueil illimité des « migrants » venus d’un peu partout, en refusant toute discrimination fondée sur le motif de leur volonté de pénétrer dans l’Union européenne (crainte justifiée liée à un état de guerre obligeant ceux qui pouvaient le faire à fuir pour demander asile aux Européens, ou volonté de profiter des avantages sociaux généreusement accordés par la plupart des pays de l’Union européenne), ou sur leur origine (pays en guerre ou en proie à la famine, ou pays en paix mais moins riches que les pays de l’Union européenne). Il n’a fallu que quelques jours pour constater qu’elle avait ouvert la boîte de Pandore et depuis elle s’acharne à tenter de la refermer, sans succès. Et c’est alors, à la réflexion, que beaucoup d’Allemands et d’Européens se sont aperçus que la prospérité allemande qui lui valait son excellente réputation ne provenait pas de mesures dont elle aurait pris l’initiative, mais étaient le résultat, d’ailleurs attendu, de celles qu’avaient prises ses prédécesseurs.

La France, elle, supporte les conséquences de l’incompétence de M. Hollande. Celui-ci n’avait guère plus d’expérience que M. Obama, n’ayant jamais géré qu’une ville moyenne et un département dont il a réussi à faire le plus endetté de France. Il est et reste arc-bouté sur l’idée socialiste depuis longtemps démentie par les faits, que les crises et les périodes de prospérité se produisent selon des cycles, et qu’il devait obligatoirement se produire une période de prospérité commençant en 2013 et qu’il suffisait d’attendre celle-ci sans prendre de mesures impopulaires, mais au contraire en appliquant d’autres idées socialistes depuis longtemps démentie par les faits :

·   Qu’il suffit de permettre au plus grand nombre une consommation accrue pour accélérer la reprise, les mesures prises en ce sens étant financées par un matraquage fiscal des plus actifs et des plus productifs, que l’on pouvait sans danger priver du bénéfice de leurs efforts puisqu’en général ils ne votaient pas socialiste et que ceux qui le faisaient étaient trop peu nombreux pour constituer une menace électorale.

·   Que le travail est comme un gâteau d’une taille donnée, et qu’il suffit de le partager entre tous ceux qui le souhaitent pour faire disparaître le chômage.

·    Qu’il suffit de donner à ceux qu’aucune entreprise n’est en mesure d’embaucher une sinécure aux frais du contribuable pour faire disparaître le chômage et le malaise des jeunes.

·    Et que si les mesures prises entraînent – comme c’est le cas – de graves difficultés financières, frappant entre autres les assurances maladie et les retraites, il suffisait, pour y remédier, d’accepter (comme Mme Merkel allait le faire plus tardivement) une immigration considérable : plus de 200.000 immigrés légaux et une population clandestine non chiffrée (et pour cause) mais dont on sait au moins qu’elle comprend les 95% des déboutés de leur demande d’asile[2] qui ne quittent pas le territoire français. Cette immigration, aux yeux des socialistes, doit être accueillie sans réticence par « solidarité », mais aussi et surtout apporter une masse d’électeurs plus dociles et accessoirement, d’augmenter le nombre de travailleurs et de cotisants, grâce à ceux qui en ont la compétence et la volonté.

 

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29 Juin2015

Big Brother

Ecrit par 29 juin 2015. Ligne Droite. Publié dans Actualité

Big Brother par Pierre Laroche
Je fais partie de cette génération d’hommes pour laquelle les initiales BB évoquaient la beauté féminine et la sensualité. Notre Brigitte Bardot nationale s’étant aujourd’hui consacrée à la défense des animaux, ces deux lettres me font aujourd’hui penser à ce que nos amis américains appellent « Big Brother ». Et justement, les médias français nous ont cette semaine rappelé que ces « amis » le sont tellement qu’ils s’intéressent de très près aux conversations téléphoniques de nos présidents. Nous savions déjà que nos propres présidents s’espionnaient mutuellement et de manière très officielle puisque ces écoutes étaient parfois utilisées pour traîner leur prédécesseur devant les tribunaux; mais là, il s’agit d’une puissance étrangère. Et de la puissance la plus puissante : les États-Unis d’Amérique !

WikiLeaks tire son nom, du mot hawaïen « wiki », qui signifie « rapide » et de l’anglais « leaks », soit « fuites » en français. Le mot wiki est généralement utilisé dans le domaine Internet pour désigner un site qui permet à ses visiteurs d’en modifier le contenu avec ou sans contrôle. Le plus connu est « Wikipédia » qui fonctionne comme une encyclopédie et que chacun d’entre nous a consulté à un moment ou un autre. Mais WikiLeaks n’a de wiki que le nom. C’est en fait une organisation à but non lucratif, financée par des dons, célèbre pour les bombes médiatiques qu’elle lance à intervalles réguliers et qui sont reprises par les médias du monde entier.
Celle qui a explosé cette semaine enfonce une porte que beaucoup d’entre nous pensaient déjà ouverte : les USA auraient espionné nos trois derniers Présidents de la République. Le mérite de WikiLeaks n’est donc pas d’avoir révélé un secret de polichinelle – tout le monde espionne tout le monde – mais d’avoir obligé notre Président en exercice à faire comme s’il n’avait pas su. Convocation au Palais de l’Élysée de l’Ambassadrice américaine, coup de téléphone de François Hollande à Barak Obama et rappel des engagements pris par la Maison Blanche de ne pas procéder à des manœuvres aussi déloyales envers ses amis, au moment même où la réplique de l’Hermione, symbole de la contribution militaire française à l’indépendance américaine, mouillait dans le port de Philadelphie. La Fayette a dû se retourner dans sa tombe !

Mais, quand bien même le voudrait-il, Barak Obama a-t-il les moyens de tenir une telle promesse envers notre pays ? N’est-il pas lui-même, comme son parti et ses collaborateurs, victime de la surveillance des organisations chargées d’assurer la sécurité intérieure, au-delà des considérations partisanes qui divisent le paysage politique américain ? On peut le craindre quand on sait que, en juin 2009, la NSA a subit une enquête du Congrès des États-Unis sur ses pratiques d'écoute électronique : elle aurait intercepté, sans surveillance ou autorisation judiciaire, plusieurs appels téléphoniques et plusieurs courriels de citoyens américains. On peut également citer les interventions auprès des commissions de la Justice des deux Assemblées demandant plus de contrôle de la NSA de la part de groupes tels Google, Apple, Microsoft, Facebook, Yahoo, AOL, Chrome, Linkendin etc.

La NSA (National Security Agency) a depuis longtemps dépassé les frontières nationales pour devenir principalement une organisation  spécialisée dans le cryptage et le décryptage d’information. A ce titre, elle a contribué parfois de manière directe au progrès des matériels et technologies informatiques du monde entier. Elle participe à la défense nationale en travaillant, souvent sans intervention des élus de la nation, avec les forces armées américaines et la CIA. Contrairement à cette dernière, la NSA ne possède pas de réseaux d’espions à travers le monde.
Son expertise lui permet d’intervenir dans les deux sens : casser les codes internationaux afin d’exploiter les informations collectées à travers le monde et générer les systèmes de codage permettant de protéger les données américaines et l’accès aux matériels informatiques nationaux. 

Bien que la responsabilité de collecter l’information internationale incombe normalement à la CIA, seule capable d’agir sur le terrain, il est clair que la NSA s’est tout naturellement impliquée dans ce domaine car la surveillance d’Américains entraîne celle de leurs communications avec l’étranger. Or, tout échange de cette nature qui comporterait la moindre ambiguïté ou un début de suspicion peut évidemment amener à la surveillance future de toutes les communications de la personnalité étrangère impliquée. Il est également facile de justifier l’extension de cette surveillance aux personnes cités dans ces communications, même si ces dernières n’ont pas eu d’échanges directs avec les correspondants américains mis sous écoute en premier.
On voit donc qu’il est possible de justifier l’interdit en se donnant bonne conscience et c’est de toute évidence ce que la NSA a fait en écoutant les conversations de nos trois derniers Présidents de la République, comme l’a révélé WikiLeaks.

Mais le mieux est souvent l’ennemi du bien. Les pratiques de la NSA en matière d’interception et de surveillance d’informations, couplées au fantastique bond en avant des moyens de communications de la planète, l’ont amenée à collecter une telle avalanche d’informations qu’il a fallu développer des équipements et des algorithmes permettant de les exploiter; avec un risque élevé d’en voir passer des plus importantes au travers des mailles du filet.
Il est donc probable que les écoutes révélées cette semaine par WikiLeaks, si elles sont vexantes pour nos présidents en raison du battage médiatique, n’ont pas eu de conséquences notables sur la sécurité de notre pays.   

   

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13 Avr2015

Le Clin d’oeil de Ligne Droite à l’actualité

Ecrit par 13 avril 2015. Ligne Droite. Publié dans Actualité

Le gouvernement veut faire du redémarrage de l’investissement une priorité nationale. Cela tombe bien, en cette période chahutée pour la majorité après la défaite aux élections départementales, cet objectif salutaire est partagé par la plupart des acteurs politiques – y compris les « frondeurs » du PS -, les entreprises et les collectivités locales. Entouré de 7 membres du gouvernement, le premier ministre a détaillé mercredi toute une batterie de mesures, pour un montant de 2,5 milliards d’ici à 2017, dont 500 millions cette année. Elles seront compensées par des économies supplémentaires dans les ministères. Ainsi, les entreprises qui se lanceront dans des achats de matériels industriels entre les 15 avril 2015 et 2016 bénéficieront d’une économie d’impôt sur les sociétés (IS) de 13 % du montant de l’investissement, en cumulé sur la durée de l’amortissement. Ce dispositif, qui coûtera environ 1,5 milliard sur 3 ans (2,5 milliards sur 5 à 10 ans), s’ajoutera aux 40 milliards de baisse de prélèvements du pacte de responsabilité entre 2014 et 2017. Il est limité dans le temps pour que les chefs d’entreprise aient une « vraie incitation à investir », explique-t-on à Matignon. Mais, comme toujours en France, il y a un gouffre entre un objectif et sa mise en œuvre. Notons tout d’abord que les entreprises qui ne paient pas ou peu d’impôt sur les sociétés seront laissées à l’écart de cette mesure alors que ce serait souvent elles qui en auraient le plus besoin. Ajoutons que les décrets d’application qui viendront confirmer cette loi vont devoir définir ce que Bercy entendra par « matériels industriels ». Leur définition risquera de ne pas coïncider avec celle des entreprises qui s’en croiront bénéficiaires. Enfin, un investissement en matériel de production ne crée pas nécessairement d’emplois à court terme mais permet de mieux utiliser et de promouvoir le personnel existant. Dans le meilleur des cas, il ouvrira de nouveaux marchés mais, si cette mesure ne s’accompagne pas d’un hypothétique assouplissement des règles de licenciement, les entreprises attendront que les commandes affluent avant de prendre le risque d’embaucher. Rien n’est simple dans le paysage industriel de notre pays. Du bout des lèvres, la Commission européenne a accepté les chiffres présentés par Michel Sapin, soulignant que Paris rejoint une« responsabilité budgétaire » partagée par la plupart des capitales de l’euro. Mais pour se prononcer sur le fond, l’équipe Juncker attend d’en savoir beaucoup plus. « La Commission ne pourra évaluer la situation qu’après que la France lui aura officiellement transmis deux documents : son plan de stabilité et le programme national de réformes », a fait savoir la porte-parole européenne Annika Breidthardt. On croirait entendre Angela Merkel parler de la Grèce ! Si le Front National n’avait pas réalisé un score plus qu’honorable aux dernières élections départementale, la nouvelle sortie de son fondateur, Jean-Marie Le Pen, serait passée inaperçue. Il était coutumier du fait. Mais alors même que sa fille Marine met son énergie et son talent au service de la normalisation du parti nationaliste, son père, en exprimant un point de vue personnel opposé à la direction et à la stratégie du Front National, ne lui rend pas service. Faire ce type de déclaration, en dehors des instances internes de décision et de débat, qui plus est dans un hebdomadaire notoirement anti sémite, constitue une faute de la part de Jean-Marie Le Pen. Ceci dit, nos médias en font des tonnes et cet accident de parcours ne devrait pas arrêter la montée du Front National qui va trouver dans le mode de scrutin des élections régionales l’occasion de concrétiser son ascension. Pour répondre à cela, l’UMP sera donc contrainte de durcir le ton, sur le plan du discours comme sur le plan de la tactique. Sarkozy va devoir s’adresser plus nettement aux électeurs en attente de plus de fermeté sur les questions d’immigration, d’assistanat, de rapport à l’islam, d’autorité et de sécurité. Il devra se montrer d’autant plus convainquant que beaucoup de promesses de son premier quinquennat n’ont pas été tenues. Et son problème principal reste que certains membres éminents de l’UMP – tels Alain Juppé – sont farouchement opposés à cette fermeté et que, pour aller plus loin dans cette direction, il devra s’affranchir du soutien centriste. Ce n’est pas gagné d’avance ! A Bruxelles, le malaise a fait place à un certain soulagement : le voyage de M. Tsipras à Moscou se termine sans trop de dégâts pour le camp européen. Pas d’aide financière directe de Moscou, pas d’indications précises quant à la possible participation de la Grèce dans les projets énergétiques russes mais un simple souhait de participation dans la construction du gazoduc Turkish Stream, destiné à contourner l’Ukraine et un assouplissement partiel de l’embargo sur les produits grecs. En même temps, la Grèce a payé les 460 millions d’euros de l’échéance du mois d’avril de son plan de remboursement. Une goutte d’eau dans l’océan des obligations financières du pays envers la défunte « troïka »; ce qui n’empêche pas Tsipras de quémander depuis août un versement de 7,2 milliards d’euros, dernière tranche d’aide européenne, dans le cadre des plans UE-FMI lancés en 2010, dont le montant total de 240 milliards d’euros, en échange de réformes drastiques du pays. Ces réformes ont été rejetées par le vote populaire grec mais les obligations restent : en mai, la Grèce doit rembourser 760 millions d’euros au FMI, plus 320 millions d’euros d’intérêts et renouveler 2,8 milliards d’euros de bons du Trésor. En aura-t-elle la capacité ? Castro (le frère) a rencontré Obama. Le rapprochement amorcé en décembre se précise. Mais, malgré la joie des fumeurs de cigare américains, la route reste longue. Les deux chambres, dominées par les Républicains sont très réticentes, sous la pression notamment de la minorité cubaine américaine. La bonne nouvelle de la semaine nous vient, une fois de plus, de l’avion Rafale dont 36 exemplaires entièrement fabriqués en France ont été vendus à l’Inde.
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