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08 Jan2015

« PAS PLEURER »

Ecrit par 8 janvier 2015. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

 

Evoquer, avec ce titre, le dernier Goncourt pour déplorer le récent attentat de Djihadistes en France, comme emprunter celui de « Soumission » à un ancien Goncourt, ne sont pas des provocations comme cela est reproché à ce dernier.

« Pas pleurer » c’est le récit de l’arrivée du fascisme en Espagne et des convulsions engendrées. « Soumission » au contraire c’est l’avenir « soft » de la France, par la « reddition préventive » que Guy Millière avait prévue.

« Pas pleurer », mais réagir. « Etre vaincu parfois, être soumis jamais ».

Réagir en commençant par redonner leur sens aux mots. Aux mots de terroriste, de Djihad, de martyr, de colonie…. et de sioniste. "Derrière un antisionisme de façade c'est l'antisémitisme et la haine du juif"  (Manuel Valls, lors de la séance de questions au gouvernement).

Réagir en condamnant la désinformation et non en l’encourageant. Les exemples de diffusion de reportages tronqués, principalement par la chaine de télévision nationale, ne sont pas l’exception. Rappelons celui de l’affaire Al Dura dont une des photos a servi de toile de fond à la décapitation d’un journaliste juif américain. Des dizaines de journalistes français ont pourtant signé une pétition initiée par le Nouvel Observateur en faveur de celui qui avait diffusé ce film bidouillé, sans contrôler l’œuvre de son cameraman. Aucun de nos quotidiens nationaux, pas plus que l’AFP, n’est exempt d’une relation inexacte ou équivoque (volontairement ?) des faits, et d’illustrations légendées de façon tendancieuse.

Admettre que le terrorisme est unique ; qu’il n’a, aujourd’hui,  qu’un seul visage qu’il sévisse en Europe, en Asie, au Proche et au Moyen Orient ; que ce n’est pas, comme le prétendait Jean Jaurès « le capitalisme (qui) porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage », mais une idéologie plus politique que religieuse de l’islamisme ; que ceux qui s’en défendent dans ces pays doivent être soutenus sans réserve, ce dont nos dirigeants de droite comme de gauche ne semblent pas persuadés. 
 
Reconnaitre que l’immigration a introduit dans notre pays des bras armés pour combattre et détruire notre société ainsi que notre civilisation, qu’il en résulte qu’il faut supprimer la double nationalité et revenir à l’acquisition de la nationalité par le droit du sang ou la naturalisation.

 

 

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04 Jan2015

VOYAGE AU BOUT DE L’ABSURDE.

Ecrit par 4 janvier 2015. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

 

Droite et gauche se sont ingéniées à nous préparer un itinéraire en « absurdie »  et à nous y cornaquer pendant 50 ans. Quelques étapes :

Le regroupement familial qui a engendré un nouveau peuplement (le « grand remplacement » ?). Les avantages sociaux distribués sans discernement qui ont perpétué la pompe aspirante de l’immigration.

Le numérus clausus dans les facultés de médecine qui a pour résultat, d’une part l’échec des étudiants de première année avec 14 de moyenne et d’autre part, en raison de la pénurie, l’embauche de 60.000 médecins nantis d’un diplôme étranger, probablement moins validant que le nôtre compte tenu de notre sélection impitoyable. Absurde de tenter, de détourner, de « piquer » dans ce qu’il faut bien qualifier, les élites du Maghreb et de l’Afrique Subsaharienne, et d’affréter ensuite des convois de médecine humanitaire pour pallier les carences que nous contribuons à créer.

Le tiers-payant généralisé qui fera augmenter les dépenses de santé alors qu’on cherche à les diminuer. Déresponsabiliser nos concitoyens n’est surement pas le moyen de faire des économies. Quant aux brimades que ne manqueront pas de subir les médecins de la part de l’assurance maladie, elles aboutiront un jour à leur faire souhaiter la fonctionnarisation avec, évidemment, le bénéfice des 35 heures. Nos ministres buttent sur les services des urgences, un certain nombre d’hôpitaux publics sont en faillite, des praticiens, souvent les meilleurs, les quittent pour un autre sort à l’étranger. Le pouvoir socialiste réussira à créer la médecine à deux vitesses au nom de la justice sociale. Le voyage en absurdie n’est probablement pas terminé.

La politique étrangère… « Prenez un cercle, caressez le, il deviendra vicieux » (Ionesco). C’est le cercle vicieux de  l’immigration de peuplement qui nous interdit de critiquer avec les mots exacts le terrorisme, car nous laissons « les mots penser à notre place », et « Les masques à la longue collent à la peau », et « L'hypocrisie finit par être de bonne foi ». La bonne foi ? Rien n’est moins sûr et, à cet égard, les médias ont une immense responsabilité dans la désinformation. A se demander si cette dernière n’est pas enseignée dans les écoles de journalisme. Désinformer, mais pourquoi ? Le cercle vicieux qu’il faut bien « caresser ». Avez-vous remarqué le fait que les médias sont très libres, voire virulents, quand il s’agit de la politique économique, mais embarrassés, confus, empruntés, quand il s’agit des guerres au Proche et Moyen Orient ?

Absurde quand la commission des droits de l’homme de l’ONU est présidée par les représentants de Kadhafi ou de Fidel Castro, quand la majorité des pays qui composent ce machin s’inspirent ou appliquent la charia, quand les deux tiers des motions qui y sont votées, le plus souvent avec l’onction de la France, concernent le seul pays démocratique du Proche Orient.  Absurde,  lorsque la France soutient la reconnaissance d’un pays dont un parti terroriste participe au pouvoir avec la même idéologie que celle que la France est censée combattre hier en Afghanistan, aujourd’hui au Mali, au Congo, en Irak, et demain en Libye. Combien de soldats ou de « Français convertis » sont morts en absurdie, dans le souci de dissimuler les racines du mal (surtout pas d’amalgame !) ?

Notre ennemi n’est pas la finance, mais l’idéologie et cet « ennemi n’a ni tort ni raison, il est vainqueur ou vaincu. Un point c’est tout »

Voyage au bout de l’absurde, « voyage au bout de la nuit », car l’absurde finit par la barbarie. « L’idéologie est un multiplicateur de massacres ; on tue d’autant plus, et en d’autant plus grand nombre, qu’on le fait dans la bonne conscience de hâter, ce faisant, l’avènement du Bien – communisme, fascisme, angélismes exterminateurs de toutes sortes ».  Son livre intitulé la Barbarie à visage humain, étant ancien (1977), BHL n’avait pas tout prévu, et encore moins ses propres erreurs.

 

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09 Déc2014

« Le fossé se creuse entre les Français et les politiques »

Ecrit par 9 décembre 2014. Gabriel Levy. Publié dans Actualité


Ce truisme était énoncé dans le Figaro du 7 avril 2013. Au demeurant, les Français n’ont plus confiance en rien, ni dans leurs institutions, ni dans ceux qui exercent le pouvoir, ni dans ceux qui vont l’exercer, ni dans leur justice, ni dans leurs syndicats, ni dans l’école républicaine, ni dans … ni dans rien !


On peut accuser les Français d’être capricieux, frondeurs, révolutionnaires. Mais le mal existe et on ne peut pas accepter longtemps, dans une démocratie, que « Le dégoût et la défiance à l'égard des politiques gagnent du terrain. Pire, pour une écrasante majorité (77%), le personnel politique est corrompu. Rarement, les Français auront été aussi remontés contre les élus de tous bords. Ils éprouvent à leur encontre avant tout du dégoût (36%) et de la méfiance (32%). Et ils ne sont plus que 1% à ressentir du respect pour leurs représentants… » (Le Figaro, op. cit)

Les Echos du 17 décembre 2013 s’interrogent avec gravité sous le titre : « la France, une démocratie ? », tant « Les citoyens se sentent mal représentés. Le fonctionnement de nos institutions expliquant en grande partie ce dangereux vent de révolte ».

Le mal persiste puisqu’on lisait, encore plus récemment (3 mai 2014), dans « Libre Jugement, Libres propos » : « La V° République : un fossé entre électeurs et élus ».

Admettons-le, les Français sont versatiles, mais leurs représentants sont sourds, aveugles et, pour le moment, incorrigibles. En conséquence, la France voit naître et se multiplier organisations contestataires et sondages ravageurs, alors que les élus s’estiment injustement mal aimés.

Oui les contribuables sont contestataires. Pour ce faire, ils se sont même organisés dans un grand nombre d’associations et regroupés dans un ensemble de 350 000 militants : « Contribuables Associés ». Ses enquêtes, ainsi que celles de l’IFRAP (son homologue), sont régulièrement commentées : l’argus des  communes, la France de la fraude, les subventions aux associations, l’argent des partis politiques…

Or, cette organisation est souvent critiquée par les élus qui ne veulent pas admettre le fait que les contribuables soient dans leur rôle quand ils analysent la conduite des affaires. N’est-ce pas le principe démocratique qui règle les rapports au parlement entre la majorité et l’opposition ? Le consentement à l’impôt n’est-il pas inscrit dans notre Constitution ? Peuvent-ils négliger leur rôle quand leurs critiques sont aussi souvent reprises par les Chambres Régionales des Comptes, la justice administrative… et la justice pénale ?

Les contribuables ne nient pas les difficultés des élus, principalement celles des élus locaux, mais ces derniers doivent respecter les rôles : ils ont sollicité leurs suffrages, et ceux à qui on impose de payer, ont le droit de formuler des critiques, ces critiques étant – par principe – « à charge ». A eux de susciter le moins de critiques possible et de mériter le respect de plus de « 1% des sondés » (cf supra).

« Quand on cesse de croire, on ne croit pas à plus rien, on croit à n’importe quoi ». C’est ainsi qu’est né le Poujadisme. C’est ainsi que naissent les révoltes et les révolutions.

 

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28 Nov2014

METTONS FIN A L’AIDE FINANCIERE A LA TURQUIE

Ecrit par 28 novembre 2014. Gabriel Levy. Publié dans Actualité

~~A l’initiative de notre association (contribuables de l’intercommunalité d’Aubagne), l’association « contribuables associés » (340 000 adhérents) a mis en ligne sur son site la pétition suivante adressée au ministre des affaires étrangères.
Nous vous avions déjà  entretenu, dans les mêmes termes, de la duperie qui consiste à faire financer par les contribuables français et européens la pré adhésion de la Turquie à l’Union Européenne, alors que la majorité des Français ne la souhaite pas et que la plupart de nos parlementaires (mais hélas bien silencieux sur le sujet) estime qu’elle ne se réalisera jamais.

En d’autres termes, on dispose de l’argent des contribuables dans des conditions qui font que le mot duperie est probablement trop faible.


Mettons fin à l'aide financière à la Turquie !
Pétition à l'attention de M. Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères.
 : http://www.contribuables.org/petitions/mettons-fin-a-l-aide-financiere-a-la-turquie .

Monsieur le Ministre,
 
Depuis maintenant plusieurs décennies, la Turquie est candidate à l’adhésion à l’Union européenne.
À cette fin, le gouvernement d’Ankara a reçu des milliards d’euros de la part des contribuables européens afin de financer l’« aide à la transition, le renforcement des institutions, la coopération transfrontalière et régionale, le développement régional, le développement des ressources humaines et le développement rural. »
La France étant contributrice à hauteur de 18,2 % du budget de l’Union européenne, elle a donc dû s’acquitter ces dernières années de centaines de millions d’euros. Rien que sur la période 2007-2013, les contribuables français ont versé 892 millions d’euros au régime de M. Erdogan, sur 4,9 milliards d’euros versés par tous les Européens.
Outre le fait qu’une nette majorité de Français, de toutes sensibilités, est opposée à l’entrée de la Turquie (64 % selon les sondages), on peut se demander si ces sommes colossales sont bien utilisées.
Selon un rapport de la Cour des comptes européenne datant déjà de 2009, les réformes attendues d’Ankara en contrepartie de l’aide financière des contribuables européens ont enregistré « des retards excessifs », des «difficultés de mise en œuvre » et ont été l’objet d’«une évaluation et un contrôle inadéquats».
Selon ce même rapport, « sur les 11 projets contrôlés, deux seulement définissaient réellement leurs besoins spécifiques, en matière d'équipements, installations, activités à mettre en place nécessaires à la mise en œuvre du projet. Ainsi, en ne définissant pas leur besoins et leurs objectifs, les gestionnaires de projets ne se donnaient pas d'obligation de réussite. Ainsi, nous pouvons donc estimer que 18% des 132 projets ont été menés à bien ».
En réalité, les subventions que les gouvernements européens versent à Ankara sans consulter les citoyens servent à construire le nouveau palais présidentiel de Recep Tayyip Erdogan, ancien Premier ministre qui veut « marquer le coup » depuis son accession à la magistrature suprême : 200 000 mètres carrés, 1000 chambres, voilà à quoi servent les milliards d’euros payés par les Français et les autres Européens à un régime qui ne fait pas les réformes de modernisation qu’il est censé mettre en œuvre !
L’affaire est d’autant plus grave que la Turquie, membre de l’OTAN et en principe alliée de la France et de l’Europe, a laissé se dérouler à ses portes, en Syrie et en Irak, un conflit où des terroristes, parfois venus de France et d’autres pays européens, se livraient à des actes de barbarie qu’ils menacent à présent de venir réitérer chez nous !
Chaque année, les contribuables français paient donc des centaines de millions d’euros à un régime qui non seulement ne fait pas les réformes qui en sont la contrepartie, mais en plus laisse se développer le terrorisme qui menace à présent notre pays !
M. le ministre des Affaires étrangères, pour la sécurité des Français mais aussi pour le respect dû à l’argent des contribuables, je vous demande de mettre fin à l’aide financière à la Turquie, d’autant plus inacceptable que les déficits publics sont abyssaux, que la dette publique vient de dépasser 2000 milliards d’euros et que la pression fiscale atteint des niveaux insupportables pour les Français alors que la croissance et l’emploi sont en berne.
M. le ministre des Affaires étrangères, mettez fin à l’aide financière à la Turquie !
 
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma plus haute considération.

 

 

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    Luca

    26 septembre 2025 | #

    What’s up, always i used to check blog posts here
    early in the daylight, for the reason that i like to find out more and more.

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