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29 Mai2015

Que va devenir la France ?

Ecrit par 29 mai 2015. Admin. Publié dans Evénements

Face à l'incurie socialiste, quel programme devons-nous attendre pour sauver et faire repartir le pays vers le progrès ? Comment sauvegarder nos acquis et nos valeurs dans cet Europe qui nous montre quotidiennement ses incapacités ?  Denis Tillinac, le célèbre journaliste et écrivain de droite sera ainsi au centre de notre futur dîner-débat ayant pour thème central l'identité de la France le lundi 22 juin à 20 heures, à la brasserie LE ZEYER, 62 rue d’Alésia 75014 Paris (place Victor et Hélène Basch, dite place d'Alésia). Participation au repas : 37€.
Contactez-nous par mail:  ladroitelibre@yahoo.fr

      La Droite Libre est née il y a une quinzaine d’années du triste constat que, hélas, lorsque la gauche n’était plus au pouvoir en France, ça ne signifiait pas forcément que les idées et les solutions de droite y étaient. Depuis la naissance de la Droite Libre, la gauche ne gouverne le pays que ces trois dernières années. Évidemment depuis 2012, la politique de l’équipe au pouvoir ne fait qu’accentuer le déclin de la France mais la vérité impose de reconnaître que la glissade n’a pas été engagée il y a trois ans mais au moins trente. Justement parce qu’au cours des périodes où la droite officielle a gouverné la France, elle n’a pas mis en œuvre les choix politiques qui s’imposent. Dans moins de deux ans, des échéances cruciales se présenteront. Il faudra, non seulement, chasser la gauche et les socialistes du pouvoir, c’est vital pour notre nation, mais aussi qu’enfin la France soit réellement gouvernée à droite.

      Deux années ne seront pas de trop pour préparer une réelle et efficace alternance. Le débat d’idées doit s’organiser autour de l’objectif 2017. La Droite Libre vous propose de l’engager lundi 22 juin à 20 heures autour d’un des intellectuels les plus avisés et les plus pertinents de la droite française, en même temps qu’un des plus célèbres, Denis Tillinac.

 

 

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01 Mai2015

Décès du Docteur Gabriel Levy

Ecrit par 1 mai 2015. Admin. Publié dans Actualité

La Droite Libre s’associe au deuil de la famille et des proches du docteur Gabriel Levy, survenu le 29 avril.

Créateur de l’Association des Contribuables de l’Intercommunalité d’Aubagne, Gabriel Lévy a été durant ces dernières années un contributeur remarquable de notre blog, avec des articles remplis de talent et de ce bon sens qui marquait sa plume.
 Il laisse derrière lui le souvenir d’un homme exceptionnel.

 

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14 Mar2015

Déni de réalité

Ecrit par 14 mars 2015. Admin. Publié dans Actualité, France, Politique

Gérald PANDELON, avocat, professeur de droit et politologue, est membre du Bureau Politique de la Droite Libre.

Dans un article sur Atlantico intitulé:

6 défis majeurs pour la France largement délaissés par les partis traditionnels (et qui ne leur laissent que leurs yeux pour pleurer sur la hausse du FN), il donne une analyse aiguisée de la réaction des politiques faces aux problèmes majeurs de notre pays, principalement concernant la politique pénale.

François Hollande, lorsqu'il déclare dans Le Parisien vouloir "arracher" les électeurs au Front National, se comporte comme l'ensemble de la classe politique française depuis plus de 30 ans : incapable de s'attaquer à la réalité, celle-ci se contente de mettre en garde contre la "menace FN".

Politique pénale : quand les débats idéologiques masquent la réalité

Gérald PANDELON : Par essence, c'est même ce que l'on appelle vaguement aujourd'hui son "logiciel" et que le philosophe Heidegger aurait nommé l'ontologie, la gauche française, davantage que la droite qui le refuse volontairement par stratégie politique, éprouve des difficultés dans l’appréhension du réel. 

En premier lieu, le réel, surtout s'il ne vient pas corroborer la version officielle ou la ligne du parti, est systématiquement révoqué en doute, ce qui constitue, à l'exception notable de M. Manuel VALLS, un a priori mental, et ce, même si ledit réflexe idéologique conduit le gouvernement à une crise importante de légitimité. Il en va ainsi de la perception du phénomène frontiste. Plutôt que de dire tout simplement la vérité, à savoir qu'il y a un lien évident entre la montée de l'insécurité et celle d'une immigration extra-communautaire qui n'est plus contrôlée, il apparaît préférable d'indiquer que les électeurs de Marine Le Pen seraient des "brebis égarées" ou des personnes sans doute exclusivement exclues socialement, même si la vérité est bien évidemment ailleurs. 

Pour les thuriféraires de cette posture mentale, lorsque le réel (l’observation objective des faits) contredit l'idéologie (leur interprétation du monde) alors le réel a soudainement tort. En effet, non seulement le FN compte autant d'élites surdiplômés non seulement parmi ses rangs mais également parmi celles et ceux qui, encore aujourd'hui, votent secrètement pour ce mouvement ; mais, au surplus, l'électorat frontiste n'est pas davantage en rupture sociale que d'autres électorats ; il constitue majoritairement aujourd'hui une classe moyenne, au même titre que les électeurs du parti socialiste ou de l'UMP. 

  • dernierA ce titre, la disqualification systématique des cadres frontistes demeure la dernière arme pour  les partis institutionnels pour tenter d'arrimer à leurs programmes des électeurs qui pourtant sont définitivement las des promesses non tenues.

Cette disqualification aveugle n'est d'ailleurs que la marque de la faiblesse grandissante de ces deux partis qui, tantôt par réflexe idéologique, tantôt par stratégie volontaire, brandissent le spectre du FN par crainte tout simplement de perdre uniquement leur fonds de commerce puisqu'ils ne pensent plus mais ne font que panser les plaies de leurs mouvements en décomposition. 

C'est ce que ressentent une part croissante de français qui s'aperçoivent massivement (certains l'avouent d'autres non) que la plupart des sujets importants (chômage, insécurité, terrorisme, immigration, fiscalité écrasante, question de l'indépendance de la France dans l'Union Européenne, etc), les partis institutionnels n'ont cessé et ne cessent de leur mentir.

Ce sont, disent-ils, les mêmes qui nous expliquent qu'il faut lutter contre "Daesh" (et non l'Etat islamique…) qui, par exemple, financent le parti islamique turc dans le cadre de l'aide de pré-adhésion à cet Etat octroyé par l'Union Européenne ; ce sont les mêmes qui considèrent que les impôts et charges sont écrasants et même confiscatoires qui, en réalité, ne font rien pour les baisser ; ce sont les mêmes qui nous expliquent "être à l'écoute du peuple" qui, dans les faits, in fine, le méprise, etc. 

C'est ce décalage abyssal entre les mots et les actes qui a créé et fait prospérer le Front national. 

En second lieu, et surtout pour le parti socialiste, il s’agit constamment de sacrifier la vérité à la théorie, fût-elle fumeuse, plutôt que d’accepter, même au prix d’un toilettage idéologique, et un peu d’honnêteté intellectuelle, qu'ils seraient dans l’erreur d’analyse et qu'ils auraient très largement sous-estimés les difficultés auxquelles notre pays est confronté.

Il faut travestir la vérité car on ne peut pas reconnaître son impuissance structurelle à agir. Prenons l'exemple du sempiternel mensonge pénal que constituent les discours concernant la délinquance. Sur ce sujet, l’analyse se heurte à une forme de discours-écran, qui s'inscrit à l’interface entre la réalité observée et les conclusions toujours édulcorées qui en sont tirées au nom d’un impératif idéologique. Il en va ainsi de l’idéologie fallacieuse du sentiment d’insécurité.

En effet, plutôt que de reconnaître que la réalité en Île-de-France et en PACA est celle d’une ultraviolence que l’on ne peut plus maîtriser, et dont les auteurs sont majoritairement issus d'une immigration extra-européenne (ce que reconnaissent curieusement en secret d'ailleurs tous les partis), par conséquent que la situation s'aggrave dramatiquement (encore deux assassinats dans les bouches-du-Rhône en quelques jours), il est désormais urgent et de bon ton prioritairement de manipuler les chiffres, donc les esprits, pour expliquer que, peu ou prou, la violence baisse, que les chiffres sont moins désastreux qu’il y a quelques années ; bref, in fine, que tout va bien.

Or, la réalité vécue par une part croissante de la population c'est précisément le contraire : ça ne va pas ou mieux ça ne va plus.

Sourds aux cris de désespoir de son électorat, il convient toujours de pacifier l’ordre social et politique par le prononcé de sempiternels discours lénifiants qui, pourtant, se heurtent à la réalité vécue au quotidien par une population croissante, en région PACA ou en Île-de-France.  

Autrement dit, à rebours de ce que nous expliquent les sociologues et psychologues médiatisés, l’insécurité n’est pas un sentiment mais une réalité ; une réalité bien souvent cruelle ; celle vécue par des bijoutiers l'année dernière à Nice, celle subie par la moitié de la population marseillaise prise en otage par une multiplication d’actes d’incivilités qui leur pollue l’existence.  C'est pourtant davantage le tabou sur des sujets sensibles qui a suscité et suscite un intérêt croissant pour les idées véhiculées par le front national qu'un quelconque penchant pour le racisme d'un électorat qui, très majoritairement, n'a rien de raciste mais qui érige tout simplement la réalité vécue et visible en réaction non pas condamnable mais parfaitement compréhensive et légitime.

D'ailleurs, il n'y a, d'une certaine manière, plus que le FN qui fasse encore de la politique puisque seul son discours repose sur une idéologie alors les autres partis, ayant abandonné le combat des idées, n'usent que d'arrangements institutionnels (utilisation, par exemple, récente de l'article 49-3 de la Constitution, dans le cadre du projet de loi Macron, pour une majorité fragilisée).

Enfin, peut-on considérer sérieusement que le chiffre de 33 % d'intentions de vote en faveur du parti de Marine Le Pen serait essentiellement le fait de personnes dépourvus d'humanité et d’empathie pour l'Autre ? A l'évidence, non.

La vérité c'est qu'il s'agit principalement d'excellents citoyens écœurés par le mensonge structurel et la lâcheté de nos gouvernants institutionnels. 

 Ce qui fait défaut, de façon dramatique, à mon sens, c'est une réelle légitimation du pouvoir majoritaire.

Gérald PANDELON, avocat, professeur de droit et politologue


 


 

 

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28 Jan2015

Considérer l’antisémitisme et le racisme comme « circonstance aggravante d’un délit » : une fuite en avant juridique contre-productive

Ecrit par 28 janvier 2015. Admin. Publié dans Actualité, Dans La Presse

Gérald Pandelon, avocat, universitaire, et membre du Bureau Politique de La Droite Libre, nous expose dans Atlantico son analyse sur les projets du gouvernement en matière de répression du racisme et de l'antisémitisme.

Atlantico : lors de son discours au mémorial de la Shoah ce mardi 27 janvier, François Hollande a dégainé l'artillerie législative lourde contre le racisme et l'antisémitisme. Une surestimation juridique qui occulte l'insuffisance de décisions politiques fortes sur la question

Atlantico : Considérer l'antisémitisme et le racisme comme des circonstances aggravantes d'un délit, est-ce nouveau ?

Gérald Pandelon : Ces délits sont déjà lourdement réprimés par une législation datant de la fin du XIXème siècle. Sur le fond, je ne crois pas que l aggravation de la réponse pénale réglera quoi que ce soit en termes de nécessaire pacification. Bien au contraire, cette nouvelle législation qui fera du juge la plume de l'historien renfermera davantage de risques de conflits dans une société déjà fortement divisée. Dans ce contexte, c'est la passion et non la raison qui risque de constituer la réelle source du droit.

Continuez à lire:

www.atlantico.fr/decryptage/considerer-antisemitisme-et-racisme-comme-circonstance-aggravante-delit-fuite-en-avant-juridique-contre-productive-gerald-1976812.html

 

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