Nous nous sommes délectés du discours de François Fillon, le seul parmi les candidats du premier tour de l’élection présidentielle à présenter un programme susceptible de redresser un pays mis à mal par cinq ans de hollandisme.
Nous nous sommes gargarisés d’analyses publiées par un organisme canadien qui donnait Fillon qualifié pour le second tour; en oubliant qu’il ne s’agissait pas de sondages mais d’études de notoriété médiatique. Études qui avaient certes prévu la victoire de Donald Trump aux USA et même la victoire de François Fillon aux primaires de la droite et du centre. Mais une méthodologie qui donnait plus de place au bruit qu’aux véritables intentions de vote. Or, concernant Fillon, ce bruit était assourdissant ! Les médias ne parlait que de lui et, devinez dans quel sens ?
Il suffisait pourtant de parler autour de soi; même et surtout avec des amis qui avaient toujours voté à droite, pour comprendre que le mal répandait la terreur. On y reprochait surtout à Fillon d’avoir joué la carte del’honnêteté pour éliminer ses deux adversaires principaux de la primaire alors qu’il n’était pas lui-même le chevalier blanc qu’il prétendait incarner. Ces deux adversaires dont la rancune est restée tenace et qui ne l’ont soutenu qu’avec réticence.
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