On voudrait accréditer la thèse que George Soros est l’instrument universel et unique d’un complot visant à faire de la planète entière le vassal d’une mondialisation obligatoire venue des États-Unis, qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
Durant tout ce début de printemps, les journalistes français qui, jusqu’à ces dernières années, se foutaient comme d’une guigne de la Hongrie, y ont consacré des doubles pages entières.
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