La préférence nationale oubliée par ceux qui se posent en héritier des gaullistes et du RPR, des démocrates-chrétiens qui ne sont surtout pas chrétiens et des libéraux qui ne sont plus libéraux. Ajoutons à cela qu’en guise de réflexion, on utilise l’Europe comme bouc émissaire et qu’on ne parle que de la prochaine échéance présidentielle, et on obtient le cocktail qui a engendré l’incapacité de la droite à arriver au pouvoir et à l’y conserver pour appliquer une politique de droite. Qu’il s’agisse de Christian Vanneste, président de La Droite Libre, d’Emmanuelle Ménard, député, de Robert Ménard, maire de Béziers, ou de Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, tous les intervenants au dîner-débat du 12 décembre dernier, ont partagé ce constat d’une droite qui ne travaille pas, qui ne s’intéresse pas à la France.
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